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Croyez vous au hasard ? : discussion - Page 5

Mababe
Mababe 17/11/2015 à 10h20

Merci Oss pour tout ce travail, je n'ai pas terminé la lecture, que je dois faire à tête reposée.
Mais bien sûr je ne manquerais pas de revenir vers toi pour te poser des questions, ou poster ici des témoignages/similitudes.

Merci à toi pour ces riches écrite !

  • Équipe Justacoté
  • Smile (2)

Mababe
Mababe 20/11/2015 à 09h38

Voilà voilà, j'ai lu hier soir le texte de Oss dur la 2ème septaine : L'apprenti-sage (si l'on peut dire !)

C'est assez édifiant de voir qu'en effet cette période d'avant-adulte correspond à tout ce que tu dis, ce besoin de liberté, ce besoin de faire ses propres expériences, ce rejet de l'autorité... Tout cela s'explique ! Par contre, c'est aussi je pense une période cruciale de la vie qui, si les parents ne sont pas "à la hauteur", peut emmener l'enfant vers la dérive, malgré tous leurs efforts des parents (du moins ce qu'ils pensent faire de bien pour l'enfant...)...

Ce qui me frappe dans tout ça c'est que l'on dise que 21 ans soit "l'âge de la raison", car ici tout se regroupe Qui a inventé ces chiffres d'ailleurs, car c'est forcément quelqu'un qui avait connaissance de ces choses là...

J'ai un peu du mal à comprendre les calculs de la barrière miroir des 21 ans, il faut que je relise tout ça mais effectivement, là encore, on retrouve des similitudes dans des périodes d'événements passés.

Encore merci à toi Oss, je continue....

  • Équipe Justacoté
  • Smile (2)

Oss
Oss 24/11/2015 à 22h46

NEUVIEME SEPTAINE - DE 56 À 63 ANS - LA SAGESSE


La neuvième septaine marque le début du troisième tiers de la vie humaine (si l’on se réfère au cycle de Saturne de près de trente ans), qui est celui où l’individu doit faire preuve d’une sagesse pratique, dont il ferait profiter autrui. La vie de l’esprit est bien avancée et l’être humain de cette tranche d’âge a les épaules suffisamment solides pour entreprendre des projets avec de hautes responsabilités. C’est une tranche d’âge où l’on récolte les problèmes et les avantages de la petite enfance. C’est une période de détachement où l’on doit tirer des leçons de sa vie, tout en apportant de l’espérance aux enfants et aux jeunes adultes. Il devient capital d’être un soutien pour ceux que l’on rencontre.

LA CRISE DE LA SOIXANTAINE

Comme nous l’avons vu à l’occasion des deux septaines précédentes, l’être humain se révèle de plus en plus en tant qu’esprit créateur au sein de l’humanité (à) différents niveaux bien entendu), durant cette longue période qui, de la maturité, l’amène petit à petit vers l’âge d’or de la sage vieillesse.

Cependant, notre société postmoderne est peu adaptée à la réalité de l’esprit humain et elle ne lui facilite guère la tâche : au lieu de profiter de la sagesse pratique des gens de la soixantaine, elle les met à la retraite ! Oui, vous pouvez rire car il n’existe rien de plus idiot … ! A moins qu’il n’y ait un but précis et bien caché ?… A vous de chercher à comprendre…

La neuvième septaine débute donc à l’âge de 56 ans. Pourtant nous considérons que ce n’est vraiment qu’autour de 59/60 ans qu’elle s’installe véritablement.

Que se passe-t-il alors ?

Nous venons de le dire, la société met l’individu à la retraite ! (ça va bien sans le dire mais ça bien en le disant et… en l’écrivant). Au moment où l’être humain dispose de toute une sagesse pratique de la vie, qui résulte de tous les défis qu’il a relevés et de toutes les épreuves qu’il a endurées et où il pourrait rendre de précieux services à la société, l’Etat le met hors course !

Ceci nous montre, une fois de plus, le peu de bon sens de nos dirigeants (à moins que ce ne soit sciemment calculé car, eux, ne se mettent jamais à la retraite !).

Notre société est élaborée pour les jeunes. Pour la publicité, tout le monde a 25 ans ! Rappelez-vous que l’évolution naturelle s’arrête à 26 ans, ce qui fait que la majorité de la population a cet âge mental ! Il n’y a pas de place pour les gens de la soixantaine, à moins qu’ils n’aient beaucoup d’argent à dépenser pour soutenir le marché économique et qu’ils puissent se comporter comme des jeunes. Sinon, il faut les mettre hors-jeu (dans des « mouroirs » par exemple), car la planète est déjà trop petite pour contenir tous les jeunes !

Alors, à quand la révolte des « séxa » ?

Les sexagénaires qui disposent d’une certaine influence sociale et de beaucoup d’expérience de la vie, sont les personnes qui pourraient le mieux contribuer à changer le monde, ou tout au moins à y apporter quelques aménagements, plutôt que de le subir : c’est l’une des responsabilités de cet âge. peut-être manquent-ils de confiance en eux ou d’espérance en l’évolution de l’être humain.

La neuvième septaine est en analogie avec la planète Saturne qui gouverne la responsabilité et la sagesse pratique, ou encore Prudence, la Vertu issue de multiples expériences de la vie, dont nous avons tirer des leçons et qui nous ont permis de nous améliorer et d’envisager l’avenir avec sérénité.

Mettre les gens à la retraite a pour but de les déresponsabiliser, de les mettre hors-jeu, afin qu’ils s’endorment tranquillement et ne dérangent pas les dirigeants. Ces derniers savent bien que c’est à cet âge que l’être humain acquiert le plus grand rayonnement social et qu’il est capable de grandes réalisations.

C’est le défi de cette période de la vie :

- Ou l’individu plonge dans sa « retraite » et, soit se laisse aller et meurt rapidement, soit, profite de celle-ci en s’amusant et en passant du bon temps;
- Ou il utilise sa disponibilité nouvelle pour s’ouvrir aux autres, donner de son temps et de sa sagesse pratique (selon ses connaissances, son savoir-faire dans tel ou tel domaine, ses capacités de service, etc…), afin de contribuer à l’amélioration du monde dans lequel il vit.

Pourquoi accorderait-il de son temps et de ses connaissances pour se mettre au service des autres ?

Simplement par gratitude pour tout ce que la vie lui a offert gratuitement… Bien sûr, si sa vie n’a évolué qu’autour de son travail et de sa famille, il se sentira soudain inutile lorsque sonnera l’heure de la retraite.

Pourquoi ?

Parce qu’il se sera « fait avoir », croyant que la seule valeur d’un être humain se juge sur le travail qu’il accomplit.

LE DETACHEMENT

Il est essentiel que, dès les dernières années de la cinquantaine, vous appreniez à vous détacher de votre travail, de vos habitudes qui lui sont liées et des croyances qui s’y joignent. Contrairement à ce qui vous a été inculqué, vous n’avez pas besoin de « gagner votre vie », car elle vous est donnée  et vous n’avez pas besoin de « travailler pour vivre » mais plutôt de vivre pour travailler !

En effet, mettre l’argent et le travail en premier dans notre existence nous assèche, tue nos relations et nous vide de notre substance créatrice. C’est la vie qui doit être placée en premier.

Que voulons nous faire de notre vie ? Comment aimerions-nous nous révéler dans le monde? Qu’aimerions-nous apporter dans cette société pour la faire progresser ?

Alors, notre vie nous amène vers un travail qui correspond à nos aspirations les plus profondes, à un idéal que nous portons dans notre coeur. Le travail sert à impliquer notre énergie pour manifester notre idéal. Et, l’argent qui en découle nous permet de continuer notre travail de manifestation de nos aspirations.

En cultivant cet état d’esprit et, surtout, en le mettant en pratique, vous ne serez jamais l’esclave de l’argent ni du travail et vous aimerez toujours ce que vous faites dans votre vie. Alors, peu importe que sonne l’âge de la retraite ! Vous continuerez à manifester vos idéaux. Vous ne tomberez pas dans le piège de ladite retraite : « Ne suis-je plus utile à la société ? »

Vous n’avez pas besoin d’être « utile » à la société : être « utile », c’est contribuer à renforcer le profit égoïste qui détruit notre planète ! Puisque ce n’est pas ce que vous voulez, alors à quoi bon vous préoccuper d’être « utile » ou non ? LACHEZ PRISE !!!

Le détachement est capital au cours de la septaine saturnienne. Il consiste à discerner ce qui est important de ce qui ne l’est pas. Ce qui est éphémère ou périssable de ce qui est éternel. Le détachement propose de se concentrer sur ce qui en vaut vraiment… la joie !

QUE VOULEZ-VOUS FAIRE DES ANNEES QUI VOUS RESTENT A VIVRE ?

Faites des choix ! Oubliez le superflu… Planifiez de grands projets : ceux qui vous tiennent à coeur, mais que vous ne vous sentiez pas capables de réaliser jusque-là. maintenant, vous avez l’expérience nécessaire et les compétences qui vont de pair. Alors, ayez confiance en vous !

Profitez-en pour vous détacher de votre corps physique. Ne tombez pas dans le piège de courir chez le médecin au moindre « bobo » : il est normal d’en avoir à votre âge. Votre corps n’est plus ce qu’il était, et alors ? C’est comme les vieilles voitures, l’essentiel c’est que ça roule, n’est-ce pas ?

Ne gaspillez pas votre énergie à courir après votre santé : elle est plus fragile qu’avant et c’est effectivement normal.

Il faut savoir que le début et la fin de vie sont « en miroir » : dans la petite enfance, l’être humain dispose d’une très grande puissance vitale, mais de peu de conscience (et donc de capacités cognitives), tandis qu’à partir de l’âge de Saturne, l’être humain dispose d’une faible puissance vitale, mais de beaucoup de conscience (et donc d’une intelligence et d’une force créatrice phénoménales). On ne peut pas tout avoir ! Alors, faites-vous une raison pour ce que vous avez irrémédiablement perdu et tirez le maximum de vos points forts.

LA BONTE

La qualité essentielle à cultiver durant cette tranche d’âge, est la bonté. La bonté est la manifestation de la compassion ou de la fraternité à travers nos actes. La bonté, c’est l’action par l’amour. L’action pure, mélange harmonieux de l’innocence associée à la sagesse.

Mais, il ne s’agit pas d’agir pour faire plaisir à quelqu’un, car chacun en est facilement capable. L’amour de l’action nécessite un travail intérieur. C’est un niveau supérieur à ce qui a été expliqué pour la sixième septaine (35-42 ans). Vers la fin de la trentaine, vous avez pris conscience de vous-même. Dans la soixantaine, vous devez réaliser bien d’autres oeuvres, mais cette fois non pour vous-même mais au profit d’autrui et du monde (à savoir à des gens n’appartenant pas à votre famille ni à vos amis et donc dans un sens de fraternité).

Ce travail, est une action désintéressée qui apporte quelque chose dont la société à besoin (créativité, construction, structure, service, etc…).

L’action par amour se suffit à elle-même. Le but n’est plus que les gens apprécient votre oeuvre. C’est le travail en lui-même qui vous nourrit et vous comble : le fait d’agir ce que vous portez dans votre coeur, afin de contribuer à l’amélioration du monde, vous réjouit intérieurement. Peu importe ce que les gens penseront ! L’important n’est pas le résultat ni le retour dont vous pourriez bénéficier de votre action, mais le fait que vous avez joué votre rôle au sein de la société.

Encore une fois, mon propos n’est pas de vous dire de prendre un flambeau et de parcourir le monde ! Non, autour de vous, tout simplement, vous pouvez agir. La bonté est certainement l’un des plus hauts idéaux humains à cultiver. La neuvième septaine est la meilleure période de la vie humaine pour apprendre à le pratiquer. Aussi, ne vous en privez pas !

Etre bon est accepter de s’oublier afin d’agir pour le plus grand bien d’autrui et du monde, par amour,. C’est semer des germes pour le futur…

Ouvrons une parenthèse sur cette dernière phrase, lourde de promesses. En effet, c’est au cours de cette septaine que votre « futur » commence à naître, à prendre forme. Soyez conscient de cette vérité, prenez le temps de bien l’assimiler.

METTRE LA MAIN A LA PÂTE

Généralement, lorsque vous traversez cette septaine, vous éprouvez le besoin de « remuer » la matière. En effet, la neuvième septaine est reliée au corps physique (tout comme les première et sixième septaines) ; cela signifie que vous pouvez exprimer le besoin d’agir sur la matière. Par exemple, vous pourriez relever le défi de construire votre propre maison ou, pour le moins, de participer à sa construction ou encore à son aménagement intérieur, même si ce n’est pas du tout un corps de métier que vous connaissez.

Vous souhaitez vous confronter à la matière et la soumettre à votre volonté. Vous êtes motivé pour construire, aménager des terrains, vous intéresser à l’architecture car ce sont des domaines reliés à votre septaine. Ce type d’actions vous fera le plus grand bien car il agira sur votre corps physique, le maintenant en forme, en équilibre.

LE CORPS ET LA PETITE ENFANCE

Votre septaine est en rapport avec la petite enfance durant laquelle votre corps physique s’est développé considérablement. Entre la naissance et l’âge de 7 ans, la manière dont votre entourage a pris soin de votre corps aura des répercussions non seulement entre 35 et 42 ans, mais encore plus dans cette neuvième septaine (56-63 ans).

Si vous avez mangé n’importe quoi, si vous avez été beaucoup vacciné, si vous avez vécu des privations, si vous avez passé votre enfance devant la télévision ou l’ordinateur (générations futures), alors tout ceci a considérablement gêné le développement correct de votre corps physique et vous en paierez les conséquences au-delà de 56 ans.

Si vous avez réussi votre sixième septaine (35-42 ans), le problème aura été rééquilibré partiellement ou totalement ; sinon, vous aurez des faiblesses de santé entre 56 et 63 ans.

COMMENT Y REMEDIER ?

En pratiquant l’amour de l’action. En effet, les erreurs de la petite enfance, indiquées ci-dessus, apportent une rigidification prématurée du corps physique. Or, ce qui permet de lui redonner un peu de souplesse est : la chaleur de l’amour. Et c’est uniquement s’il est « agi » que l’amour peut faire « fondre » le problème.

Bien sûr, il ne faut par rêver : se mettre à l’action par amour, agir de manière totalement désintéressée, est très difficile. De plus, ceci ne résout pas les problèmes de santé profondément enracinés dans le physique, même si cela contribue à une amélioration certaine.

Cependant, il ne faudrait pas agir avec amour dans le but de guérir tel ou tel problème de santé… car il ne s’agirait plus d’une action désintéressée. Les problèmes engendrés dans la petite enfance doivent être principalement réglés durant la sixième septaine (35-42 ans). Si cela n’a pas été le cas, il est toujours possible de réparer intérieurement leurs conséquences : ainsi, le problème de fond sera rédempté d’un point de vue spirituel, mais la répercussion sur le plan physique ne sera peut-être que partielle.

LA DESINCARNATION DU « JE », SUITE… ET PRESQUE FIN…

La lente remontée vers notre patrie originelle poursuit son cours lors de la septaine saturnienne. Une fois que le « Je », l’individualité humaine, s’est dégagé de la volonté (la zone des membres et du métabolisme) durant la septaine de Mars (42-49 ans), puis du sentiment (zone de la poitrine) pendant la septaine de Jupiter (49-56 ans), il s’extrait de la pensée (zone de la tête) à l’occasion de la septaine de Saturne (56-63 ans).

Ainsi, le « Je » va de moins en moins soutenir les facultés intellectuelles. C’est la raison pour laquelle elles baissent dans la soixantaine, si l’être humain ne les travaille pas (en général après 63 ans).

Ce mouvement du « Je » aide à se détacher de soi et du monde et par conséquent de s’intéresser aux autres.Nous avons déjà vu qu’il y a généralement un décalage entre le moment où le « Je » abandonne une partie du corps et celui où cette partie du corps montre des signes de faiblesse. Ainsi, selon la vitalité de la personne, les problèmes de santé porteront, par exemple, sur la zone du sentiment (coeur et poumons) laissée par le « Je » entre 49 et 56 ans, ou toujours sur la zone de la volonté, lâchée par le « Je » entre 42 et 49 ans (membres fragiles et métabolisme affaibli : problèmes de digestion, assimilation ou élimination, par exemple).

Mais rappelez-vous bien que votre santé est reliée à la qualité du vécu physique de votre petite enfance : si vous avez eu la chance de vivre une petite enfance très naturelle, à tout point de vue, alors votre vitalité sera certainement excellente dans la soixantaine.

Après 63 ans, le « Je » s’étant dégagé de la zone de la pensée (tête) pendant la septaine précédente, on peut constater des pertes de mémoire et des problèmes nerveux. Pour éviter ce fait, il est fortement conseillé de faire travailler sa mémoire durant cette neuvième septaine (l’idéal étant de l’avoir fait toute sa vie et de ne pas avoir passé trop de temps devant la télé !).

Par ailleurs, et en exergue à ce chapitre, il faut noter la qualité d’entente dont les sexagénaires bénéficient avec les petits enfants. Elle est due au fait qu’ils ont un rôle précis à jouer auprès d’eux. Il ne s’agit pas de materner ou de pouponner, car ils ne doivent surtout pas se substituer aux parents ! En revanche, ils peuvent transmettre la sécurité au petit enfant. En effet, un petit est insécurisé par son incarnation dans la matière car ce monde est nouveau pour lui ; la tranquille sécurité qui émane d’une personne âgée peut lui donner confiance en la vie : tel est le rôle du sexagénaire vis-à-vis des plus petits de ses contemporains… à condition qu’il soit, lui-même, suffisamment en sécurité.

QUELQUES AGES CLES : 56, 59 et 63 ans

56 ans : Le but de vie

Aux alentours de l’âge de 56 ans, une nouvelle connexion naturelle avec la monde spirituel s’établit. Les deux précédentes fois, à l’adolescence puis vers la fin de la trentaine, l’individu la vivait plus ou moins subconsciemment mais à l’orée de cette septaine, il est possible de l’expérimenter tout à fait consciemment. Cette expérience spirituelle dépend beaucoup de ce qui a été vécu durant la septaine précédente.

- Si l’individu s’est ouvert à sa dimension intérieure à l’occasion d’une remise en cause de son rapport à la connaissance,
- Si l’opportunité lui a été donnée d’enseigner, et ainsi apprendre davantage sur lui (car enseigner, c’est apprendre sur soi et autrui),
si sa créativité et ses projets se sont élargis en dehors de son cadre familial et amical, afin de progresser vers le don de soi…

alors, l’individu sera fin prêt pour s’ouvrir à une dimension suprasensible lors de cette expérience qui lui est proposée aux alentours de l’âge de 56 ans. Il comprendra son but de vie, ce qu’il est venu faire sur Terre (s’il ne l’a pas déjà perçu à l’âge de 37/38 ans). Il sera mieux à même de mesurer le chemin parcouru par rapport à ce but de vie et ce qu’il lui reste à accomplir.

Il prendra conscience de la dimension divine infinie de son être supérieur (Ame céleste ou Moi Supérieur), ce qui lui apportera beaucoup d’espérance et d’amour pour son prochain. Il lui sera plus aisé de pardonner, de guérir de vieilles blessures de son passé et de s’ouvrir au futur et à une nouvelle forme de créativité ou d’expression de lui-même (toujours dans un sens d’aide aux autres et au monde).

59 ans : Le grand carrefour des âges

Aux alentours de 59 ans se produit un autre rendez-vous essentiel qui constitue une sorte de bilan de la vie et, en même temps, un nouveau départ (et pas celui de la retraite !). Cet âge marque un grand carrefour auxquels les anciennes civilisations ont toujours été attentives. Les initiés ont toujours indiqué que les sociétés évoluaient sur ce rythme de soixante années et qu’il était également très important pour l’évolution de l’être humain.

D’ailleurs, on pourrait partager la vie humaine en trois périodes de trente années environ :

- De 0 à 29/30 ans, la descente dans l’incarnation, l’apprentissage de la vie, le « recevoir », l’expression des dons, etc…
- Puis, de 29/30 ans à 59/60 ans, la vie adulte, la réalisation de soi, l’expression de l’individualité humaine, le don de soi, la créativité, etc…
- Enfin, au-delà de 60 ans, le don aux autres et à la communauté humaine, l’oeuvre du sage, etc…

L’âge de 59 ans est favorable pour faire le point en nous sur deux formes que sont la sagesse pratique et la sagesse connaissante :

- sagesse pratique qui résulte d’expériences concrètes de la vie, dont nous avons tiré des leçons et qui nous ont fait grandir en force morale, en responsabilité, en prudence et qui nous font devenir un bâtisseur du futur.
- sagesse connaissante qui résulte d’un résultat intérieur d’étude, de lectures, de méditations sur des connaissances et des vérités. Cette sagesse intérieure nous apporte la connaissance de l’être humain et de son fonctionnement, ainsi que l’assurance qu’il est un être spirituel à l’image et à la ressemblance de Dieu.

63 ans : Un nouveau départ

La vie est toujours constituée de nouveaux départs, de nouvelles opportunités, de nouvelles impulsions. Parfois, nous les saisissons et, d’autres fois, nous les laissons passer. Ce n’est pas une question d’âge. C’est une question de motivation et d’espérance.

A l’âge de 63 ans, vous êtes face à un nouveau départ, car vous êtes arrivé au bout des septaines de votre destinée. Une sorte de lâcher prise se produit au sein de votre destinée. Il est plus ou moins perceptible selon les individus. Vous pouvez alors vivre deux ou trois années d’accalmie et de détachement. Ce sont souvent des années de « récoltes » : des problèmes se débloquent ou disparaissent d’eux-mêmes, vous bénéficiez d’un coup de chance financier ou autre, etc…

Très souvent, vous cultiverez de nouveaux centres d’intérêt ou, tout au moins, vous en éprouverez le besoin. Au-delà de 63 ans, l’essentiel consiste à poursuivre le travail d’ouverture d’esprit commencé dans la quarantaine. Ouvrez-vous sur le monde, soyez curieux de ce qui s’y passe, ne restez pas replié sur vous-même et sur votre famille. Lisez, méditez, aidez les autres, donnez le meilleur de votre coeur !

La vie n’est pas toujours facile et les plus jeunes ont besoin de rencontrer des gens comme vous, qui ont la « pêche », qui sont porteurs d’espérance ou fomentent des projets enthousiasmants.

A noter que dans notre société occidentale, les femme bénéficient d’une espérance de vie nettement supérieure à celle des hommes. Pourquoi ? Cela a-t-il un sens ? En effet, la fin de la vie régie par Saturne, l’astre de l’autonomie et de l’indépendance, offre une dernière chance à certaines femmes de s’émanciper de l’influence masculine. Une ultime opportunité de devenir indépendante et libre de tout attache en quelque sorte. D’où l’intérêt pour les femmes de travailler l’autonomie ou l’indépendance dès la trentaine ou la quarantaine.

Il est recommandé, entre 63 et 66 ans, de pratiquer une rétrospective de votre vie. Pour cela, remontez le temps, septaine par septaine, jusqu’à votre enfance. Installez-vous confortablement et fermez les yeux. Commencez à revoir à rebours les années que vous venez de vivre durant la dernière septaine. Puis remémorez-vous la septaine précédente et ainsi de suite jusqu’au moment de votre naissance.

N’allez pas trop vite, prenez votre temps, ne cherchez pas à tout revivre dans les moindres détails mais attardez-vous sur les principaux évènements (recherchez vos émotions d’alors, ce qui vous a le plus touché, votre ressenti intérieur…)

Si lors de votre rétrospection vous revivez un conflit que vous avez eu avec telle ou telle personne, c’est le moment de réaliser un travail de pardon afin de vous détacher de cette personne et de vous mettre en clair avec votre relation. Lâchez vos vieilles rancunes, vos regrets, déceptions et échecs. Relativisez toutes ces expériences et voyez-en l’intérêt sur l’ensemble de votre vie. Un échec peut devenir une source de compréhension. Recherchez et voyez le bien qui en est ressorti au fil du temps, la sagesse pratique que vous avez acquise et qui a construit l’être que vous êtes aujourd’hui. Découvrez les merveilleux rythmes de votre destinée et vous percevrez alors une bienveillante présence qui veille sur vous.




Voilà chers amis et amies ce que je voulais vous faire découvrir au travers de ces septaines, vous montrer que l’on peut penser différemment, que l’on ne doit pas avoir peur de la mort et que la vie sur Terre trouvera une continuité dans l’au-delà, dans le « après », dans l’espoir de « revivre ».

J’espère également avoir pu vous donner le sourire et une confiance en vous. Je sais que beaucoup d’entre nous souffrent d’un mal être, d’un départ imprévu qui nous a abasourdi, cassé, de problèmes médicaux également. Je sais également pour l'avoir vécue, que la souffrance du corps est terrible et, quelquefois, celle de l'âme peut l'être tout autant. Mais il faut savoir se relever, ne pas subir, avoir confiance et savoir la garder. Dites-vous bien, maintenant que vous avez lu ces propos, que votre vie est faite d’étapes dans les eptaines. Ces étapes ont été choisies, vous les avez choisies avant de « venir ». Vous ne vous en souvenez pas, c’est normal, mais il n’y a pas de hasard, tout est écrit….

Sachez que ce fut pour moi un réel bonheur de pouvoir échanger avec vous. Je regrette et je préfère vous le dire, qu’il n’y ait pas eu d’échanges (ou si peu) entre nous. C’est dommage. Mais, vous savez, l’important c’est que j’ai pu aller jusqu’au bout de mon propos et que j’ai pu vous le faire partager. Alors, le reste n’a pas d’importance.

Il me reste à conclure. J’ai choisi un thème pour ma conclusion dont voici le titre : La peur de la mort. Mais je vous en parlerai demain...

Bonne nuit !

  • Ambassadeur
  • Smile (3)

Mababe
Mababe 25/11/2015 à 14h24

Merci beaucoup Oss, j'ajoute cette septaine (pas encore passée pour ma part) à mon dossier, j'en ai des choses à lire !

  • Équipe Justacoté
  • Smile (1)

Bettyoups
Bettyoups 25/11/2015 à 21h08

Que dire, Oss que je suis très émue par cette septaine.....je te remercie et vais lire et relire , réfléchir,essayer de me souvenir sans trop souffrir .....

  • Ambassadeur
  • Smile (1)

Desillusion
Desillusion 25/11/2015 à 22h01

coucou,

je pense que je vais être un peu dur, mais je voulais juste donner mon avis, qui reste, bien entendu, que mon avis!
désolée d'avance si j'irrite, ou peut-être choque un peu, mais ce n'est pas le but!

j'ai lu, enfin pas tout car c'est un peu long, mais j'avoue (et ça me regarde) que je n'adhère pas trop, car je considère que en fonction de telle période on vit telle vie, en plus, on a quelque part le retour de bâton, ou du moins, un peu le même "chemin", je trouve cette façon de voir la vie, un peu "réducteur", sans vouloir offenser qui que ce soit.
J'avoue même avoir été un peu titillé (voire +) sur la mamie dans la maison de retraite, qui recevait en quelque sorte ce qu'elle méritait, c'est assez...je ne sais comment dire...déroutant.

heureusement aujourd'hui, nous avons la liberté de penser, de s'exprimer et de vivre, et chacun est différent quel que soit son âge ou son vécu
viva la vida!

et surtout, je pense qu'il ne faut pas culpabiliser (éducation...) ou souffrir, il est vrai qu'il est important de faire un bilan de sa vie, de se souvenir...mais attention juste de laisser le passé où il est. On a déjà, le présent et le futur à gérer, on va pas en +, s'auto-flageller sur ce qu'on a fait ou pas fait d'ailleurs.vivre l'instant présent tout simplement c'est si bon.

merci à vous, merci Oss, pour tout le temps que tu as pu prendre sur ce sujet.
à bientôt.

  • Novice
  • Smile (2)

Cjp95
Cjp95 27/11/2015 à 18h38

Si je recentre un peu le débat sur le thème de ce fil de discussion ->
" croyez-vous au hasard ", ceux qui y croient joueront probablement au jeu de l'Avent qui va démarrer sous peu ->
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Ceux qui n'y croient pas, tenteront & gagnerons & désormais y croiront !
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Et si par hasard y'avais besoin d'épiloguer davantage, n'hésitez surtout plus !

  • Ambassadeur
  • Smile (3)

Oss
Oss 27/11/2015 à 20h23

Je retiens ta dernière phrase : et si par hasard y' avait besoin d'epiloguer davantage, n'hésitez surtout plus !
... Comme quoi, le hasard fait bien les choses...

  • Ambassadeur
  • Smile (3)

Mababe
Mababe 30/11/2015 à 10h54

Coucou me revoilà par ici, après ma lecture de la quatrième septaine
Oui, je ne vais pas bien vite, je prends mon temps !
Donc, et après lecture de l'avis de Maliko concernant la création de son association justement dans cette septaine, pour moi ce ne fût plus tard, dans la septaine suivante que je choisis aussi de créer une association.
J'étais, pour ma part, dans cette quatrième septaine, mère de famille, et j'ai choisi de reprendre ma liberté, en pleine conscience ou pas, je ne sais pas, toutefois j'avais ce besoin de vivre ma vie très fort...
Guidée ou pas, hasard ou pas... Je ne sais dire !

  • Équipe Justacoté
  • Smile (2)

Oss
Oss 30/11/2015 à 18h13

EN CONCLUSION


LA LIBERATION DU KARMA A 63 ANS

Lorsque l’individu atteint l’âge de 63 ans, le karma ne se manisfeste plus. Cela signifie que le karma qu’il s’était préparé pendant l’entre-deux vies (avant de s’incarner), est épuisé. L’ensemble des épreuves défis, capacités, qualités, rencontres… ne peuvent se manifester que durant les neuf septaines.

Bien sûr, cela ne signifie pas que nous ne risquons plus d’être confrontés à une épreuve après cet âge (l’expérience de la Vie prouve le contraire), mais que le karma des vies passées est tari pour cette incarnation. Cela signifie que nous avions jusqu’à 63 ans pour réaliser ce que nous nous étions engagés à accomplir dans cette destinée. En revanche, le karma que nous nous sommes créés dans cette vie peut encore se déverser jusqu’à la fin de nos jours.

Toutes les épreuves que nous vivons après 63 ans résultent d’un karma que nous nous sommes formé dans cette vie, généralement dans la jeunesse ou au début de la vie d’adulte. En fait, la vie après 63 ans est la résultante de votre vie 30 ans (environ), en arrière. C’est là que le travail de rétrospective prend tout son sens.

Il s’établit une certaine paix dans la destinée d’un sexagénaire (en général de 63 à 66 ans). Cette période se produit trente trois ans après celle du milieu de la vie (33 ans, n’était ce pas l’âge du Christ, le cycle qu’il a apporté au sein de l’humanité ?).

D’un point de vue spirituel, cette période est favorable pour se rapprocher de Dieu ou de son Ame Céleste (Moi supérieur). Certaines personnes, à la faveur d’un rêve récurrent ou marquant, trouvent ainsi une grande paix intérieure et sente un besoin d’une réconciliation avec le monde spirituel.

En tout état de cause, la Vie future se prépare après et durant cette période poste 63 ans. Après cet âge, on se découvre de nouveau centres d’intérêt. La disponibilité de la retraite joue en leur faveur, à conditions que la famille et les amis ne remplissent pas tout leur quotidien ! Si vous avez décidé de vous tourner vers votre prochain, comme nous l’avions évoqué plus haut, vous en verrez bientôt leur l’intérêt de grandir dans de nouvelles activités.

Comme pour les septaines, dans la vie après 63 ans tout est relié et notre vie future commence déjà à se préparer durant votre veilliesse. Par exemple, vous pouvez être attirés par un pays, vouloir le visiter à tout prix, lire des ouvrages pour en étudier la géographie, l’histoire et sa culture. Il est possible que ce soit une destination pour une vie future. Vous vous trouvez des talents cachés : musique, peinture, médecine…, alors que vous ne vous en êtes jamais intéressés de toute votre vie. Il est possible que cette passion soudaine pour une connaissance, un art ou un corps de métier soit une sorte de préparation pour notre vie future. Ceci est dû au fait que nous sommes proche de notre Ame céleste ou Moi supérieur, en fin de vie, même si cela reste subconscient. Pour votre Moi supérieur, le temps n’existe pas et notre vie future fait partie de ses projets.

Donc, partez en quête de ce qui pourrait être important à cultiver à la fin de votre vie pour mieux préparer la suivante. Soyez à l’écoute de tout et de tout ce qui vous touche particulièrement.

Je sais que les septiques se marrent en lisant ces lignes mais enfin ! Réfléchissons un tout petit peu, prenons le temps d’analyser ces propos et puis, qui sait, nous pourrions en débattre… après…, tous ensemble…, ailleurs !


LA PEUR DE LA MORT

C’est connu, en Occident, personne n’a peur de la mort ! Alors pourquoi conclure ainsi ? Tout simplement parce que c’est un gros mensonge ! En réalité, chacun est terrorisé à l’idée de la mort.

Il est normal d’avoir peur de la mort, puisque la peur nait de l’ignorance. Si dans les anciennes civilisations il existait un enseignement sur la mort, de nos jours, nous avons perdu les connaissances essentielles ; nous ne savons plus ce qu’est véritablement la naissance et la mort reste un mystère que personne n’ose regarder en face. Pourtant, certains médecins, des psychologues commencent à lever des tabous et osent s’aventurer en terrain inconnu (Dr Elizabeth Kubler-Ross). La mort conduit au « néant » dans l’idée matérialiste de la majorité des gens.

Et pourtant, nous parlons volontiers de milliers de cas de morts imminentes. Des témoignages sont livrés, on les prend au sérieux et on réfléchit. Enfin dirai-je ! Et tous ces témoignages concordent : il existe bel et bien un monde transcendant de la matière ! Un monde auquel nous accédons après la mort, en franchissant une sorte de tunnel au bout duquel brille une éclatante lumière d’amour. Tous les enseignements spirituels en parlent en détail… Mais, nous sommes tellement matérialistes, obsédés par ce qui est objectif ! Malheureusement, à force de tuer le sacré en l’être humain, la société de consommation génère la désespérance aux deux extrêmes de la vie : chez les jeunes et chez les personnes âgées.

Chez les jeunes car ils ne peuvent réaliser les idéaux avec lesquels ils s’incarnent

Chez les personnes âgées car elles sont mises à la retraite et donc qualifiées d’inutiles pour vivre le bonheur imposé par la mode économique.

Résulat ? Suicides innombrables de ces deux catégories de personnes qui ont sombré dans la désespérance.

Enfin, je souhaiterais vous parler de l’accompagnement vers la mort. Certains d’entre vous ont pu, devant le lit d’un mourant, accomplir un geste qui reste du domaine du merveilleux et de la clairvoyance : permettre à un mourant de « partir », l’autoriser, en quelque sorte, à s’en aller. Par deux fois j’ai été confronté à ces départs permis. L’âme d’un mourant est toujours active. C’est le corps qui est mal, c’est lui qui va s’éteindre. Mais l’âme est encore « attachée » à ce corps. Il faut lui dire qu’elle peut partir. Au delà de la peine que vous avez de voir cet être cher qui a vécu avec vous toute une vie et qui est sur le point de mourir, cet acte courageux que vous allez accomplir est salutaire, non seulement pour son âme elle-même, mais pour la votre également !

C’est ainsi qu’avec ma femme nous avons dit à sa maman qu’elle pouvait partir ; elle est partie dans la minute qui a suivi ce que nous venions de lui dire. Pour mon épouse, et je vous en ai déjà parflé et écrit un article sur ce site, j’ai pris sa main, je l’ai embrassé alors qu’elle avait les yeux fermés et exprimait un râle. J’ai senti que c’était le moment de le lui dire. Nous étions seuls dans sa chambre d’hôpital. Je lui ai parlé longuement sur nous deux, notre famille et j’ai terminé en lui disant : tu peux partir si tu le souhaites. Elle est partie dans les secondes qui ont suivi alors que pendant près de 48 heures elle était en grande souffrance. Elle attendait !

Certes, ce n’est pas facile mais là encore, l’Amour avec un grand A est plus fort. Ce geste m’a permis de revivre sachant que j’ai accompli ce jour là, malgré le chagrin, un geste fort, salvateur pour moi et je sais qu’elle est heureuse là où elle se trouve.

Alors, est-ce cela le hasard ?

  • Ambassadeur
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Mababe
Mababe 01/12/2015 à 10h06

Je suis très émue de ces dernières lignes Oss...
Et je ne peux bien sûr m'empêcher de penser en rétrogradant de quelques années, où j'ai aussi accompagné ma maman dans son départ, en souffrance de 6 mois de grande maladie, où je me rappelle l'avoir incitée à "rester"... Par égoïsme ? Je ne voulais pas qu'elle parte, c'était juste inimaginable pour moi, et pourtant je la voyais lutter et souffrir atrocement chaque jour..
Jusqu'au jour où... Aux soins intensifs avec une gros fièvre, je l'ai quittée le soir en l'embrassant, sans penser qu'elle allait partir quelques heures plus tard, je ne lui ai pas dit "pars", je ne voulais pas, alors elle est partie sans attendre mon "feu vert"....
Je crois que je n'arrive pas à digérer son départ depuis...

Merci pour ces textes, très enrichissants en tout cas, que l'on adhère.. ou pas !

Pour ma part je voudrais partager ceci, c'est un article sur la synchronicité qui je trouve s'accorde bien avec le sujet :

Le hasard n'existe pas, mais la synchronicité ?

  • Équipe Justacoté
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Desillusion
Desillusion 01/12/2015 à 10h38

bonjour,
oui merci Oss pour tes textes et ta sincérité.

et merci aussi Mababe pour nous parler de ton vécu.
je me permets de dire ce que j'avais tout simplement envie de dire (et sans jouer ma psy), je me permets donc de te dire ça, peut-être ne devrais pas, car c'est un sujet très sensible et tellement personnel.

Mababe, il est peut-être temps que tu te pardonnes à toi même, il faut que tu puisses ainsi te libérer, et du coup libérer toutes les énergies que tu retiens (y compris celle de ta mère)
lâche prise tout simplement,
tu parlais de hasard et de synchronicité; peut-être est-ce le bon moment?
le fait d'en parler est déjà un signe, enfin, peut-être?

Bonne journée à vous.

  • Novice
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Shamounette
Shamounette 01/12/2015 à 11h29

Hé ben ! J'ai commencé à lire la discussion, je m'apprêtais à répondre sur la question de départ puis... j'ai vu les messages sur les septaines de Oss...
Bon alors, j'ai tout copié collé quelques part, je vais m'imprimer ça et lire ça tranquillement bientot, car je pense que c'est hyper intéréssant.

Sinon, concernant le hasard, je sais depuis quelques mois maintenant, depuis que j'ai enfin commencé ma nouvelle vie (ou recommencé ma vie) ma façon de penser et de voir la monde a bien changé, et effectivement, je peux l'affirmer: il n'y a pas de hasard dans la vie.

Je ne vais pas trop m'étendre (pour le moment en tout cas) mais beaucoup de petites choses se sont révelées à mes yeux depuis quelques mois, et je sais désormais que l'univers nous met sur des chemins qui nous correspondent, à nous de les reconnaître, de saisir l'opportunité, et de vivre cette vie qui nous convient.
A nous de faire que notre vie soit belle, car oui elle peut l'être et elle l'est !! malgré les monstruosités dehors, il y a toujours quelque chose de beau et fort qui en ressort.

Pour ce qui est de la pensée positive: je suis complètement d'accord, j'etais enfermée dans une vie très négative il y a encore 8 mois de ça, et depuis ma vie a été bouleversée, je me sens tellement mieux, j'essaie de pratiquer cette pensée positive au jour le jour, idem que la loi de l'attraction (d'où le fait qu'il y a pas de hasard dans la vie, on récolte seulement ce qu'on attire) et il en ressort une nouvelle moi (ou plutot la moi retrouvée) et je revis enfin, j'ai envie d'aider les autres à se sentir aussi bien que moi.

je vais couper là pour le moment mais je suis étonnée et surtout agréablement étonnée de trouver un sujet comme ça ici, moi qui venais surtout pour les bonnes adresses !!
Bref, je vais suivre attentivement le sujet, et surtout lire les longs textes sur les septaines

  • Elite
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Oss
Oss 03/01/2016 à 14h43

Ce qui est important, voire très important, si l'on conçoit que notre vie est une route qui se voudrait être rectiligne et que si elle comporte quelques virages ce ne sont que des épreuves qui "nous attendent au tournant... !", si l'on comprend bien cela, il faut admettre que ces épreuves il nous faudra les affronter et ne pas essayer de s'en détourner. Comme je l'ai écrit, notre karma nous le portons en nous dès notre naissance ; il a été "élaboré" avant de vivre notre période charnelle mais, nous ne nous souvenons de rien. Nous avons heureusement un guide, c'est notre Ange Gardien qui, entre 35 et 42 / 49 ans, nous laisse faire seul tout en nous "contrôlant" de loin pour revenir vers nous après, jusqu'à la fin. Il faut croire en lui. C'est un Etre de Lumière et, si vous en faites l'expérience, lorsque vous êtes dans le désarroi, dans la peine, appelez-le, demandez-lui de vous aider. Oh, il ne viendra pas de suite car vous n'êtes pas préparé à ce dialogue avec lui, mais essayez, sans relâche, et vous serez surpris de l'aide qui vous apportera. Comment ? Ce peut être une réponse à une question que vous vous posez et qui vous vient après avoir tant réflêchi, ce peut être un objet retrouvé, ce peut être une rencontre avec quelqu'un que vous espériez, ce peut être une demande de protection au cours d'un voyage, d'un déplacememnt... Il y a tant de choses que l'on peut lui demander. Et petit à petit, vous le sentirez en vous... C'est une réel entraînement, de tous les jours, de tous les instants. Mais, dans tous les cas, il vus laisse cette part de votre libre arbitre et vous saurez rapidement si vous aviez raison.

  • Ambassadeur
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Oss
Oss 03/01/2016 à 15h31

Je te réponds Mababe,

Désilulu a raison. Il est encore temps de se parler à soi-même, seul (e) ou avec quelqu'un en qui tu peux avoir confiance. Faute de savoir, tu as retenu ta maman. Ne te culpabilise nullement ! Si tu as 63 ans ou pas loin de les avoir, ton karma a cessé d'être et ta maman est partie pendant ton karma. Au delà des 63 ans, tu vas vivre un autre karma que tu t'es forgée pendant tes 33 dernières années sur Terre. Ton nouveau karma s'est enrichi d'actions que tu as vécues et, si tu n'as pas encore cet âge, tu verras, qu'à partir de tes 63 ans, te reviendront en mémoire, pour peu que tu en fasses l'exercice, plein de souvenirs et, les "mauvaises actions" que tu auras pu vivre, tu sauras les revivre avec une autre vue, un autre jugement et t'en soulager. Donc, pour le départ de ta maman, tu auras la possiblité de t'en reparler, d'analyser, de lui dire (enfin ?) : "maman je ne savais pas mais ce dont je suis sûre, c'est que cela ne t'a pas empêchée d'être heureuse là où tu es partie. Je suis heureuse pour toi de cela".
Garde confiance Mababe, garde toujours confiance en toi...

  • Ambassadeur
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Mababe
Mababe 04/01/2016 à 10h22

Merci Oss pour ces quelques lignes, oui je lui parle souvent, je l'appelle à l'aide, très rarement, mais je reconnais que "ça marche", elle veille sur moi et mes proches je le sais, c'est assez impressionnant les signes qu'elle m'envoie parfois... Elle n'est pas mon ange gardien ou mon "guide", parce que je pense que cette personne nous "protège" depuis notre naissance, mais elle est bel et bien là...

Je n'ai pas encore atteint les 63 ans ( ouf), par contre j'ai lu la dernière partie de ton texte sur les karmas, et aussi sur le fait qu'à partir de cet âge nous "préparons" notre vie future.
Je ne sais pas trop quoi en penser, je crois que je préfère penser que jusqu'au bout nous vivons "notre" vie...

  • Équipe Justacoté
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Oss
Oss 04/01/2016 à 10h46

Tu as raison Mababe, Vis comme tu le ressens, n'hésite pas... Par contre, et j'aimerais que nous en reparlions plus tard..., tu verras, à partir de tes 63 ans , peut être même à partir de 65 ans, tu auras une autre vision de toi-même, une autre façon d'agir, une propension à vouloir aider et surtout, surtout tous tes souvenirs et actions passés surgiront en toi : les bons comme les mauvais, les souvenirs de l'enfance, de l'ado et tous les autres. Je ne dis pas que ce n'est pas déjà le cas pour toi ou pour d'autres alors que cet âge n'est pas encore atteint, mais cette résurgeance à partir de cet âge est tout à fait nouvelle, merveilleuse, parfois douloureuse et tu verras la sérénité qui t'habitera. Patience madame..., le beau reste à venir...

Lorsque je dis que l'on prépare son départ, il faut le comprendre que ton esprit va encore s'ouvrir. Il n'a pas fini de "voir et de comprendre". Ne pense pas que cette dernière étape tu vas la faire dans la douleur, la peur de "l'Après". Non, tu vas sans doute avoir une autre activité que celle que tu as en ce moment, tu vas te rapprocher le mieux possible de ce que tu aimeras faire, voir, agir. Ce sera purement de l'inconscience car à ce moment tu ne penseras pas que tu agiras pour "l'Après", mais ton âme se préparera ainsi. Et cela ne doit pas te faire peur, bien au contraire, mais te donner une forme d'optimisme.

Alors vis comme tu le ressens, comme tu le veux, sans te poser de questions. Continue à aimer ce que tu fais, ceux que tu aimes et apprécies. Continue à lui parler, sois toujours sensible aux signes que tu reçois, aime et aime encore et toujours. C'est très important d'aimer et d'être aimer. C'est le premier qualificatif que l'on attribue à Dieu "Dieu est amour". Sois toi-même, nous ne sommes pas des Dieux mais de Lui. Mes propos ne sont nullement la Vérité, ni la solution et encore moins l'incontounable leçon de Vie mais simplement une réflexion et une façon de "VOIR" ce qui nous entoure et ce que nous sommes.

Il existe de nombreux ouvrages sur ces questions de notre existence. J'en ai lus, c'est vrai, pour forger mes réflexions et puiser une certaine sagesse d'esprit. Mais je veux garder mon libre arbitre et les pieds sur terre et si je peux aider, alors, je le fais volontiers.

Voilà.

  • Ambassadeur
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Mababe
Mababe 04/01/2016 à 11h00

Merci Oss, je veux bien que tu nous cites tes références bibliographiques sur le sujet, car tout ceci m'intéresse
Nous en reparlerons lorsque j'aurais atteint cette maturité d'esprit et d'âge (c'est dans loooooooooooongtemps !)
Donc, nous allons rester en contact encore super longtemps, c'est chouette ça !

Merci à toi pour toute cette richesse que tu nous apportes, prochaine étape : Lire tes textes sur les autres septaines, et notamment celle qui me concerne aujourd'hui

  • Équipe Justacoté
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Oss
Oss 31/10/2016 à 08h13

Vous rappelez-vous ce que nous disions sur le hasard, sur ce rendez-vous de la vie ? Alors cette vidéo vous intéressera


  • Ambassadeur
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Natlyon
Natlyon 31/10/2016 à 08h24

Absolument magnifique !! Et surtout, le don, l'altruisme, le partage, la bienveillance, sont des sources de bien être, de bonheur, de joie immenses .... et pas seulement pour ceux qui en bénéficient, mais d'abord, et surtout, pour ceux qui les offrent ! Comme disait Christian des Pallières, cet homme merveilleux qui a sauvé tant d'enfants au Cambodge et dont on peut découvrir l'histoire dans le sublime film Les Pépites : je suis un homme égoïste, donner me rend heureux.

  • Elite
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