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Scandale sur la vaccination de nos enfants : discussion

Oss
Oss le 22/05/2015 à 17h10
Je vous fais part de cette vidéo du professeur Henri Joyeux dont le sujet porte sur la vaccination de nos enfants. Regardez la jusqu'à la fin. Je n'ai rien à y gagner mais simplement l'opportunité de vous en informer. Les médias ont eu connaissance, enfin, de ce problème et vont commencer à en parler

  • Ambassadeur
  • Smile (1)

Bettyoups
Bettyoups 24/05/2015 à 10h32

C'est scandaleux !! Mais qui faut-il croire ? A qui faire confiance ?

  • Ambassadeur
  • Smile

Oss
Oss 24/05/2015 à 12h47

Fais confiance au professeur Joyeux Maliko. Les recherches en pharmacie c'est comme le scandale amaricain des pesticides Mosento, c'est une affaire de gros sous dont nous sommes les victimes. Si tu revois la vidéo tu verras que le professeur s'adresse à nous en précisant bien que le contenu du vaccin DT POLIO à venir, contient des produits toxiques et notamment de l'aluminium et que le vaccin que nous connaissons actuellement et qui a servi à de nombreux enfants n'a pas cette toxicité. Au nom de quoi doit-on injecter aux bébés aurant de vaccins en une seule fois ? Le vaccin de la varicelle existe depuis un certain nombre d'années . Les enfants qui l'attrapent et qui n'ont pas eu ce vaccin, sont ils atteints d'une quelconque suite problématique ? Nous parents, alors que nous étions enfants nous avons tous eu ces maladies infantiles. Sommes nous des tarés ? Pourquoi tous ces vaccins ont-ils vus le jour ? Tout simplement et en premier lieu un histoire de gros sous dont les firmes pharceutiques s'engraissent.
certains professeurs s'alarment et principalement les cancérologues. Il n'est pas normal que ce cancer soit aussi prolifique et je reste persuadé que les pesticides que nous ingurgitons, les vaccins prescits pour un oui ou pour un non, la pollution, sont des agents nocifs dont le cancer et autres maladies se régalent.
J'ai lu un article ou je l'ai écouté à la télévision, qu'une femme enceinte ne devrait pas être dans le jardin dont le mari traite avec des pesticides, fruis, légumes et fleurs. L'hinalation est dangereuse pour le foetus . Est ce écrit sur l'emballage du produit ?
Je pense qu'il est grand temps que l'on se prenne en charge, que l'on ouvre les yeux et que l'on hurle notre désaccord. Je ne suis pas un écolo, loin de là mais j'ai vu trop de choses, je pense à ma descendance et aussi à moi-meme en me disant que le chemin qu'il me reste à faire, je veux le faire dans la sérénité tant physique qu'affective. La sérénité marielle vient bien après

  • Ambassadeur
  • Smile

Mababe
Mababe 26/05/2015 à 16h03

Je connais bien le professeur Henri Joyeux...

C'est édifiant ! Mais alors que faire, puisque nous sommes conditionnés par les médias ?

  • Équipe Justacoté
  • Smile

Oss
Oss 26/05/2015 à 16h17

Voici la suite que j'ai reçue ce matin, suite à la vidéo du Professeur Henri Joyeux.

image


La croisade d’un cancérologue contre un super-vaccin destiné aux enfants
22/05/2015 à 09h36
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Le cancérologue Henri Joyeux met en garde contre l'Infanrix Hexa, une version du vaccin obligatoire DT-Polio. Il serait trop "lourd" et trop dangereux pour les nourrissons. Il accuse les laboratoires pharmaceutiques d'organiser la pénurie d'autres vaccins pour obliger les parents à se tourner vers l'Infanrix.

Un professeur de médecine met en garde contre le vaccin DT-Polio. C'est une polémique récurrente, relancée cette semaine par un professeur de médecine : les vaccins administrés à nos enfants sont-ils dangereux ? Depuis plusieurs jours, une vidéo, très populaire chez les jeunes parents, circulent sur Internet. Le cancérologue Henri Joyeux y met en garde contre l'une des dernières versions du vaccin DT-Polio, l'un des vaccins obligatoires en France.

Selon lui, l'Infanrix Hexa, le "cocktail" de vaccins prescrits par les médecins et vendus en pharmacie actuellement, serait trop "lourd" et trop dangereux pour les nourissons. Cet Infanrix Hexa est une seule et même dose qui protège de la polio, mais aussi de cinq autres maladies dont l'hépatite B.

"Ce cocktail-là, je ne veux pas le prendre"

Un nouveau vaccin que les parents se verraient dans l'obligation d'acheter, les vaccins "classiques" étant en rupture de stock. Confirmation de Vanessa, pharmacienne. "Nous recevons beaucoup de patients qui demandent la simple vaccination, mais ces vaccins sont en rupture depuis maintenant plusieurs semaines, voire plusieurs mois", assure-t-elle sur RMC.

"Nous sommes pieds et poings liés et donc obligés de nous diriger vers le seul vaccin disponible, l'Infanrix Hexa".
Beaucoup de parents, comme Marie, n’ont pas confiance dans ce vaccin "cocktail". "Si c'est l'hépatite B, je n'en prends pas. Je veux avoir le choix. Je sais qu'il y a des vaccins obligatoires, mais ce cocktail-là, je ne veux pas le prendre", s'agace cette maman.

"Ce vaccin est mieux toléré par les nourrissons"

Le professeur Joyeux accuse les laboratoires pharmaceutiques de ne plus fabriquer les vaccins "classiques" protégeant contre la polio, afin de forcer les parents à acheter le nouveau "cocktail" de vaccins, plus chers et selon lui plus dangereux. Une thèse réfutée par les laboratoires qui expliquent la pénurie de vaccins "classiques" par la demande croissante des pays émergents.

Mais pour plusieurs médecins, les craintes sont de toute façon infondées. Caroline prescrit l’Infanrix, car selon elle vacciner les bébés contre l’hépatite B présente même des avantages:

"Ce vaccin est mieux toléré quand ils sont nourrissons, et il y a moins de risque de développer de sclérose en plaques qu'à l'adolescence".
Mais les opposants ne désarment pas: une pétition contre le vaccin, qui a déjà recueilli près de 250.000 signatures, va être envoyée au ministère de la santé.

Par La rédaction (R.M.C.=


Pétition vaccin : première victoire

Chère amie, cher ami,

Ça y est, vous avez réussi à briser le mur du silence sur le scandale du vaccin DT-Polio.

Après 3 jours d'une campagne qui fait rage sur Internet (grâce à vous !), les grands médias ont commencé à répercuter notre mobilisation (voir par exemple ici ou ici). C'est une première victoire.

Notre nombre est, en effet, impressionnant.

Mais il faut monter bien plus haut.

Si nous avons tant fait en 3 jours (300 000 signatures), c'est que nous pouvons dépasser le MILLION.

Mais ce n'est possible qu'à une condition : chacun de nous doit impérativement convaincre 4 personnes de son entourage de signer au plus vite. C'est possible, si nous nous y mettons tous.

Vous avez forcément 4 personnes parmi vos contacts emails qui peuvent signer.

Transférez leur d'urgence le lien vers la vidéo. C'est le seul moyen de donner plus d'ampleur à notre mobilisation.

Pour l'instant, les pouvoirs publics n'ont pas encore réagi. Et si nous nous arrêtons en chemin, ils enterreront l'affaire, et nous aurons fait tout cela pour rien !

Un grand merci de vous mobiliser maintenant pour faire réussir notre campagne. C'est indispensable.

Voici le lien vers la vidéo.

Joyeux DTP vaccin


Avec tout mon dévouement,

A.de Livois

  • Ambassadeur
  • Smile

Oss
Oss 01/06/2015 à 18h54

Réponse du Professeur Joyeux aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio

« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s'étaient pas manifestés. C'est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. [1] »

Ce sont les premières lignes de l'article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.

Qu'une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.

Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d'empêcher le débat et la réflexion, qu'à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?

Reprenons notre calme et discutons ensemble posément.

Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008

Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n'est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C'est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.

Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).

Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.

Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.

Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l'Infanrix Hexa s'ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l'obligation vaccinale, et garantir l'accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n'ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).

Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.

En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l'obligation vaccinale pour vendre du même coup d'autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n'est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s'il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n'a pas, ou peu de risques d'être en contact avec la maladie. C'est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l'Infanrix Hexa.

Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher

À ce problème purement médical s'en ajoute un autre, d'ordre financier.

Il se trouve que l'Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n'est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.

Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d'euros pour les laboratoires pharmaceutiques.

Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l'avons jamais dit. Mais il n'en reste pas moins qu'il est permis de s'interroger sur le peu d'empressement des laboratoires pour y remédier.

Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d'être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?

En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n'est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C'est le lot inévitable du « lanceur d'alerte ».

Désinformation et sape systématique par tous les médias

Ce à quoi nous n'étions pas préparés, en revanche, c'est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s'il existait une sorte d'urgence de convaincre le public que nous n'aurions écrit que des âneries voire des mensonges.

Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d'information, de Rue89 jusqu'au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.

L'écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l'objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d'y répondre de façon systématique.

Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.

1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares

Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l'Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l'actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.

C'est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l'Infanrix Hexa, ainsi que l'indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].

Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d'allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d'autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n'ayant jamais été vaccinés, l'encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l'appareil pulmonaire.

En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n'a été remédié qu'au mois de mai, ainsi que l'indique l'Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].

Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l'égard de l'Infanrix Hexa est donc absolument faux.

2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux

Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu'il n'y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu'ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !

Là encore, il s'agit d'une vision simpliste et trompeuse du choix qui s'offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d'un médicament ou d'un traitement ?

Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c'est la première chose que nous apprenons. Notre serment d'Hippocrate commence par ces mots : « D'abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu'ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu'ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu'ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu'il n'y ait aucun risque.

Les autorités, et c'est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.

Mais on ne peut en déduire qu'en toutes circonstances il soit sûr, d'un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n'est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C'est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l'hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.

En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d'interventions médicales, qui n'est pas toxicomane et qui n'a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l'hépatite B, il n'est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.

Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité

Affirmer qu'un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n'est pas être « antivaccin ». C'est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu'on leur administre.

Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d'objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n'est pas respectueux des Droits de l'Homme, et c'est pourquoi nous nous y opposons.

3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres

Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c'est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.

En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d'accélérer cette réponse la prochaine fois qu'il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.

Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l'allaitement qui reste idéal pour l’enfant).

Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.

Que sait-on de la réponse immune lorsqu'il y a 6 valences d'antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n'est pas assez ancienne pour que l'on ait aujourd'hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.

De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.

On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d'aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu'à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l'adulte.

Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang

Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu'ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu'ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l'on redoute n'est pas l'empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.

Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d'approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L'opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l'impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.

Continuons notre mobilisation

C'est chose faite aujourd'hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.

Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées, et à poursuivre la campagne de signature de la pétition (ici)

  • Ambassadeur
  • Smile

Bettyoups
Bettyoups 01/06/2015 à 19h06

Mais que nous font ils, c'est incroyable !!!! Effroyable et scandaleux !

  • Ambassadeur
  • Smile

Oss
Oss 01/06/2015 à 19h08

C'est terrible, c'est un histoire d'intérêts financiers dont les politiques sont mouillés jusqu'au cou ! Et si tu ne vaccines pas tes enfants, tu vas en prison !

  • Ambassadeur
  • Smile

Bettyoups
Bettyoups 01/06/2015 à 19h22

Et nous sommes en démocratie ????

  • Ambassadeur
  • Smile

Mababe
Mababe 02/06/2015 à 10h37

Oui, j'ai lu ça... C'est épouvantable, nous sommes vraiment manipulés !

  • Équipe Justacoté
  • Smile (1)

Oss
Oss 03/06/2015 à 16h34

Si vous souhaitez recevoir le dossier santé du professeur Henri Joyeux, cliquez sur le lien ci-dessous. Ce dossier est gratuit et vous donnera des conseils sur les cancers du sein, de la prostate, du colon.
[Lien]

  • Ambassadeur
  • Smile

Oss
Oss 05/06/2015 à 17h08

Voici un document officiel de notre ministre de la santé qui souhaitait voir le vaccin polio sans aluminium revenir dans les pharmacie comme il fut le cas. Or, de nos jours elle critique le professeur Joyeux et ne veux pas entendre parler de ce vaccin, lui préférant le nouveau, celui qui est contreversé par une grande partie des médecins et chercheurs
[Lien] alt="image" style="max-width: 100%;" />


A ce jour, la pétition du professeur Joyeux a recueilli 600 000 signatures en 3 semaines.

  • Ambassadeur
  • Smile

Mababe
Mababe 10/06/2015 à 10h11

Et que dire de la mafia des médicaments ? Lire sur ce lien : [Lien]

C'est édifiant ! Et bien sûr le Pr. Joyeux et d'autres militants essaient de mettre tout ça au grand jour, heureusement qu'il existe des personnages comme lui...

  • Équipe Justacoté
  • Smile

Oss
Oss 10/06/2015 à 10h31

C'est ce que je disais dans la rubrique précédente "agro-écologie " où je parlais de notre avevir et celui de nos enfants : c'est bien qu'au quotidien l'on fasse attention et que l'on ait les bons gestes pour préserver notre terre, ok, mais cela ne suffit pas ! Et il est grand temps que nous, les "petits" réagissions devant ces monstruosités dont nos gouvernants assurent la pérennité. La mafia medicale nous pompe, la mafia sportive nous dévalorise, et bien d'autres mafias encore

  • Ambassadeur
  • Smile

Celkle
Celkle 30/06/2015 à 22h49

en 2013, 7 cas de tétanos mortel en France,


et ce mois ci en Espagne [Lien]facebook

le problème avec la campagne du Pr JOYEUX, c'est qu'elle est mal comprise : NON il ne dit pas qu'il ne faut plus vacciner.
mais revenir aux fondamentaux et au bon sens surtt.

  • Elite
  • Smile

Oss
Oss 17/07/2015 à 00h16

Bonsoir,

Le professeur Joyeux est resté silencieux ces dernières semaines. Le Conseil de l'Ordre a porté plainte contre lui pour ces propos sur la vaccinations des jeunes enfants. Je vous adresse ci-dessous sa dernière lettre.

Réponse au conseil national de l’ordre des médecins (cnom) qui porte plainte

Une plainte et l’impossibilité de poursuivre ma mission de consultant à l’ICM de Montpellier

C’est le 18 juin 2015 que le CNOM s’est réuni à Paris pour examiner les 2 pétitions diffusées sur les réseaux sociaux concernant respectivement :

l’une la vaccination contre les cancers du col de l’utérus, que les laboratoires cherchent à généraliser dès l’âge de 9 ans chez garçons et filles,

l’autre la rupture de stock calculée par les fabricants du vaccin trivalent contre Diphtérie-Tétanos-Polio (DTP) obligatoire selon la loi ; ceci entraînant l’obligation pour les familles d’utiliser deux mois après la naissance un vaccin Héxavalent contre 3 maladies supplémentaires : l’hépatite B, la coqueluche ainsi que les maladies dues à l’Hémophilus Influenzae de type b. Une belle arnaque !

J'ai donc reçu une plainte du CNOM qui a décidé de saisir la Chambre disciplinaire de première instance du conseil de l'ordre de la région Languedoc-Roussilon à laquelle j'appartiens.

Simultanément, je recevais la consigne du directeur de l'Institut du Cancer de Montpellier (ICM) dans lequel je travaille depuis 1970, de stopper les consultations à partir du 7 juillet à l’issue d’un contrat d’une année qui ne sera donc pas renouvelé.

Ainsi, les patients déjà inscrits pour mes consultations des prochains mois seront vus par d’autres médecins, ce qui me rassure, car l’équipe de l’ICM est de très grande qualité.

Sur ordre de qui me direz-vous ? Probablement de la ministre, qui n'apprécie pas mes propos concernant les vaccins, alors qu’elle écrivait noir sur blanc la même chose sur les adjuvants lors de la dernière campagne présidentielle :

« De nombreuses études ont ainsi alerté sur le possible potentiel cancérigène et perturbateur endocrinien des sels d’aluminium. […] La nature des adjuvants utilisés dans leur fabrication doit faire l'objet d'une attention particulière et doit être communiquée aux familles afin qu'elles soient pleinement informées. Elles doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que cela était le cas jusqu'en 2008. » [1]

Au lieu de reconnaître ses propres inquiétudes, auxquelles les miennes font écho, la ministre préfère dériver sur d’autres sujets sans rapport avec la vaccination pour tenter de me faire taire.

Que me reproche le CNOM ?

De publier sur des sites internet des articles à charge contre la politique vaccinale de l’État en particulier du haut conseil de santé publique. Voici les arguments :

« preuves scientifiques non établies, discours alarmistes », car « le médecin est au service de la santé publique » avec rappel des « principes de moralité et de probité », « nécessité de concourir à l’action entreprise par les autorités compétentes en vue de la protection de la santé des individus et de l’éducation sanitaire », « obligation de prudence et soucis de répercussions des propos auprès du public », « interdiction de déconsidérer la profession » selon un grand nombre d’articles du Code de la santé publique que je connais bien.

Pourquoi pas de réponses à ses questions et à celles de très nombreuses familles ?

La ministre, comme ses collaborateurs et subordonnés, cherche à me faire passer parmi les excessifs, activistes réactionnaires systématiquement contre les vaccins. Cela est entièrement faux et démontre qu’il s’agit d’un faux procès.

Leur seul objectif est de me faire taire par les moyens légaux afin que je rentre dans le moule de ceux qui leur proposent une vaste planification de santé publique imposée à tous, comme ce fut le cas au siècle dernier dans des dictatures bien connues, y compris au sujet des vaccinations. Et il est interdit de sortir du rang.

Ainsi la propagande médiatique très bien orchestrée économiquement peut diffuser sans discussion des informations quasiment publicitaires, destinées à faire peur aux familles pour imposer la vaccination généralisée, sans expliquer qu’il y a d’autres moyens qui ne coûtent rien pour éviter certaines de ces maladies.

C’est sans compter sur les réseaux sociaux qui ont le grand avantage d’informer très rapidement le maximum de personnes sans passer par les médias officiels ou qui ont pignon sur rue et sont fort gênés de donner des informations qui ne vont pas dans le sens de leurs ”sponsors”.

Alors je ne suis pas étonné de ne recevoir aucune réponse aux deux questions élémentaires qui se posent :

le vaccin contre les cancers du col de l’utérus est-il nécessaire dès 9 ans et sans dangers pour les enfants ?

pourquoi imposer à des nourrissons de 2 mois un vaccin Hexavalent qui n’est pas obligatoire et qui contient des adjuvants dangereux pour la santé ?

Mes premières réponses pour la santé publique

Je maintiens que je ne suis pas opposé à la vaccination obligatoire DTP et que les laboratoires doivent fabriquer à nouveau ce vaccin sans adjuvant dangereux pour la santé. De très nombreuses familles l’attendent.

Je maintiens que les familles n’ont pas l’assurance d’absence de dangers immédiats ou plus tard liés à la vaccination contre les cancers du col de l’utérus et l’hépatite B. On ne tient pas à les faire connaître, ce qui fait le jeu des laboratoires et de lobbies ayant des intérêts financiers énormes.

Je maintiens qu’il n’est pas nécessaire de vacciner un enfant de 2 mois contre l’hépatite B à moins qu’un ou ses deux parents soient porteurs du virus.

Je maintiens que je continuerai à informer les familles qui ont droit à une information juste, prudente, car même si je respecte l’État comme citoyen, ma liberté d’expression reste entière pour informer clairement afin de que les décisions soient prises de manière libre, autonome et responsable.

Je connais parfaitement le serment d’Hippocrate qui engage le médecin à protéger le malade et sa famille, pour l’avoir prêté avec confiance en 1972. Sous aucun prétexte je n’en dévierai, sans n’avoir de leçon à donner à personne.

Je n’ai aucune leçon de moralité et de probité à recevoir, ayant toujours exercé mon métier de chirurgien cancérologue sans jamais avoir eu de relations financières avec les patients, et sans la moindre plainte d’aucun d’entre eux.

Quant au Conseil de l’ordre des médecins, je vois bien qu’il est plus aux ordres de l’État et des lobbies qu’au service des patients pour les informer loyalement et les protéger. Il ne faut donc pas s’étonner que la profession médicale soit de plus en plus contestée, voire décriée par l’État lui même quand ça l’arrange.

Le CNOM une des institutions représentant le corps médical, essentiellement responsable des sujets éthiques, a trop souvent défendu les intérêts de médecins influents. Il a malheureusement dans son histoire en plusieurs circonstances apporté son soutien et même couvert certains médecins sans scrupule et exploiteurs de situations de détresse humaine.

Je reste donc à la disposition des familles et des enfants pour leur meilleure santé

Pour l’instant, continuez à faire signer la pétition autour de vous, c’est la seule solution pour faire bouger les pouvoirs publics et les laboratoires très attentifs à leurs intérêts respectifs.

La pétition se trouve sur le site de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle (IPSN) : Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !

Bien cordialement à tous,

Professeur Henri Joyeux

  • Ambassadeur
  • Smile

Bettyoups
Bettyoups 17/07/2015 à 09h20

Pour faire suite à ton post, Oss .

leprogres.fr > Ain > Gex Vendredi 17 juillet 2015

AIN / HAUTE-SAVOIE LES PARENTS SOUHAITANT LA VERSION DU VACCIN SANS L’HÉPATITE B VONT L’ACHETER DE L’AUTRE CÔTÉ DE LA FRONTIÈRE, EN Y METTANT LE PRIX FORT. Le vaccin DT Polio manque en France mais se trouve facilement en Suisse
Santé. Si vous n’habitez pas à côté de la frontière suisse, vous n’avez pas le choix dans le vaccin du DTPolio.

Le vaccin du DTPolio est obligatoire en France. Mais le seul disponible à la vente contient d’autres vaccins non obligatoires, comme celui de l’hépatite B.

En France, le vaccin DT Polio est obligatoire. Or, sur le territoire français, certaines versions (celles n’intégrant pas l’hépatite B) ne sont plus disponibles depuis plusieurs mois. Les parents qui ne côtoient pas la frontière n’ont donc plus le choix. Seul l’hexavalent est en vente en pharmacie. Ce qui n’est pas le cas en Suisse, qui propose le quadrivalent, pentavalent et l’hexavalent. Les frontaliers n’hésitent donc pas à se rendre dans des officines helvètes pour acheter la version sans l’hépatite B, vaccin par ailleurs controversé. Première explication au problème de disponibilité : les labos ont du mal à suivre. Et ce n’est pas nouveau, depuis plusieurs années le DT Polio est régulièrement en rupture de stock. « Le souci d’approvisionnement vient essentiellement des flux tendus sur leur fabrication », décrypte le service communication du laboratoire Sanofi-Pasteur MSD.
Autre donnée, chez Sanofi Pasteur, on explique que des volumes de vaccins sont prévus pour chaque pays chaque année, en fonction de plusieurs paramètres : le nombre d’habitants, les estimations de naissances, ce qui a été utilisé comme volume les années précédentes (les Suisses ne s’y seraient pas trompés, eux) et enfin en fonction des recommandations vaccinales du pays. Sur ce point, la France pousserait à l’hexavalent, alors même que sa formule comporte des vaccins pas obligatoires. Quand le plan de vaccination suisse aurait de son côté tendance à privilégier le pentavalent chez le nourrisson, avec une vaccination contre l’hépatite B plus tard, à l’adolescence.

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Oss
Oss 17/07/2015 à 10h25

Merci Maliko pour nous faire partager cet article. Encore une fois cette affaire de gros sous et d'intérêts prend le pas sur la santé de nos enfants ! Vous rendez-vous compte que des parents ont été condamnés dernièrement parce qu'ils refusaient ce vaccin pour leur enfant mais ne s'opposaient pas au vaccin du DTP ?

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Mababe
Mababe 17/07/2015 à 16h10

Oui, c'est scandaleux, merci maliko et Oss pour vos partages.

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Celkle
Celkle 17/07/2015 à 16h44

pour la vaccin du cancer du col, il y a quand assez de recul pour peu que l'on regarde dans les pays nordiques qui le font depuis plusieurs années déjà,

mais quant à l'âge auquel il doit être fait, je n'ai pas d'avis. Même à 18 ans, mes enfants seraient encore "trop jeunes, mes bb"

pour le vaccin DTP , je ne vois pas le rapport avec "est-on encore en démocratie ? "; j'ai cherché je ne vois pas.

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Bettyoups
Bettyoups 18/07/2015 à 16h01

Bonjour, à la question est on encore en démocratie? ...et non car on nous impose de vacciner nos enfants, donc ou est notre liberté de choisir ce qui nous semble mieux pour nos enfants ?

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