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Scandale sur la vaccination de nos enfants : discussion - Page 2

Celkle
Celkle 19/07/2015 à 22h31

Maliko : vacciner est acte de protection individuelle mais aussi de protection collective.
Chacun est donc protéger aussi car les autres se vaccinent.

Genre des enfants/ des malades sont protégés quand des soignants se vaccinent et ainsi ne sont plus transporteurs !

si on ne voit que soi, ....

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Oss
Oss 20/07/2015 à 00h00

Oui c'est exact, la vaccination est un acte civique et obligatoire. Mais dans ce cas précis où des vaccins inutiles sont imposés alors même que d'iminents professionnels démontrent l'absurdité de tels actes, je pense que nous les parents ou grands parents devront être mieux défendus. Rappelez vous le scandale, dans les années fin 70, du scandale du talc Morange. A cette époque, combien de médecin et de pédiatres ont établis des ordonnances pour utiliser ce produit pour protéger la peau des bébés, alors que des médecins s'injurgeaient contre cette utilisation ? Finalement, ce talc a été interdit bien plus tard après que le corps médical se soit aperçu bien tardivement que la mort de certains nourissons était le fait de ce talc.

A son entrée en maternelle, nous nous sommes opposés, mon épouse et moi-même, à ce que mon fils soit vacciné contre le BCG (obligatoire pourtant pour entrer en école). Un médecin nous a fait le certificat nécessaire, déclinant la responsabilité de l'école en cas de maladie due à ce virus. Nous l'avons fait vacciner à l'âge de 10 ans et durant toute son enfance, il a évolué sainement, sans aucune fatigue du corps. Nous avons pris un risque, c'est vrai mais il n'a fait aucune maladie infantile à répétition.

Enfin Celkle, ce n'est pas parce que l'on est vacciné que nous ne sommes pas porteur d'un virus. La vaccination nous protège mais nous pouvons très bien transporter un virus et le transmettre sans être soi-même malade. Si le personnel médical se vaccine, il se protège mais il peut très bien transporter un microbe et le passer à l'un de ces malades.

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Bettyoups
Bettyoups 20/07/2015 à 09h47

Celkle, bien sûr qu'il faut se protéger et de ce fait, protéger les autres, mais dans le cas présent, il s'agit de nous imposer des vaccins qui sont nocifs à la santé !! Au nom de quoi? Du sacro-saint, dieu Argent ? Oui, protégeons nous mais pas aux détriments de notre santé, quel paradoxe, non ? Oss, je connais des personnes qui se sont fait vacciner contre la grippe, et qui quelques années plus tard, l'on contracté violemment, à la question du patient - comment se fait-il que j'ai pris la grippe comme ça, alors que je suis vacciné ? - le médecin a répondu que le virus était de plus en plus fort et qu'il y avait des grippes différentes ! ....que faut-il faire ?

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Celkle
Celkle 20/07/2015 à 11h54

Maliko : surtout parce que la grippe n'est pas nécessairement la même tous les ans. D'autant plus si la personne s'est faite vacciner pour "quelques années plus tard, l'on contracté violemment,". Qq années plus tard !! m'enfin ! Cette personne visiblement n'avait eu aucune infos sur les vaccins.

Pour le reste, nous sommes assez d'accord.
ok pour la vaccination, mais pas à tout va.
Je dois d'ailleurs faire un rappel DTP à mes enfants, eh bien, j'attendrai le trivalent.

Oss : les ligues AT vaccinales communiquent malheureusement tellement mieux que les Gvt et les autorités médicales, que même les professionnels de santé peuvent s'y perdre. Et je ne jette la pierre à personne
On le voit dans l'exemple de Maliko ("le médecin a répondu que le virus était de plus en plus fort et qu'il y avait des grippes différentes ! "), on le voit aussi un tas d'autres sujets médicaux ou pas .
Bonne journée tout le monde

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Oss
Oss 11/08/2015 à 20h23

Je vous communique ci-dessous, un texte du Professeur Joyeux. Bonne lecture

Débat sur les vaccins : l'intoxication a déjà commencé !

Le sujet des vaccinations est d’une très grande importance pour les familles.

Il est hors du champ politique. Il s’agit de la santé de nos enfants, les 820 000 qui sont nés cette année, les 820 000 qui vont arriver et bien plus encore.

Depuis la pétition que j’ai lancée avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, signée par près de 750 000 personnes – du jamais vu –, j’ai été inondé de questions très pertinentes, car la rentrée approche.

Sept types de questions dominent dans les familles.

" J’ai vacciné mon enfant en primovaccination avec un tétravalent contre Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche à 3 mois, et rappel à 5 mois. Est-il bien vacciné contre ces 4 maladies ?


Je ne veux pas que mon enfant reçoive le vaccin contre l’hépatite B. Comment faire puisqu’en pharmacie on ne trouve que le vaccin hexavalent qui en plus contient de l'aluminium que je ne veux pas pour mon bébé ?


Quand aurons-nous le vaccin obligatoire contre Diphtérie-Tétanos-Polio sans aluminium dans toutes les pharmacies ?


Pour mon voyage en Asie, quels vaccins dois-je faire ?


Si j’allaite mon bébé 6 mois comme le recommande l’OMS, et pendant 1 année de plus matin et soir, dois-je faire vacciner mon enfant ?


Mon enfant se porte très bien, la crèche m’impose des vaccins non obligatoires : puis-je les refuser sans risque de voir mon enfant interdit de crèche ?


Si mon enfant n’est pas vacciné, comment peut-il transmettre telle ou telle maladie à ceux qui sont vaccinés ? "

La ministre lance un débat national à propos des vaccins

J’avais demandé début juin à débattre en direct avec la ministre de la Santé sur la chaîne de son choix. Elle a préféré m’insulter en me traitant de médecin « rétrograde » plutôt que de répondre.

Parce qu’elle sent quand même qu’il y une vraie attente dans l’opinion, elle vient finalement de proposer un « débat public ».

Mais on sait comment ce gouvernement fonctionne : discutez tant que vous voudrez, manifestez, mes décisions sont déjà prises, car le Président l’a dit. Un président qui a bien démontré qu’il ne connaît rien à la santé des familles.

La ministre confondant vaccins obligatoires et vaccins recommandés, il est logique qu’elle demande une mission parlementaire à l’une de ses amies députées. Celle-ci appartient évidemment au même parti, coprésidente du Groupe d'étude sur le médicament, et membre du conseil d'administration de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Que connaît-elle de la vie réelle en dehors de la pression des lobbies de tout bord ?

Il n’est pas question d’entrer dans le jeu des auditions que je connais bien, étant membre du Conseil économique social et environnemental. On vous questionne et on ne tient aucun compte de vos avis ! C’est hélas comme cela que ça fonctionne.

La ministre promet la transparence, mais le débat n’est pas ouvert qu’il est déjà faussé par six de ses phrases qui cherchent à culpabiliser les familles – qu’elle n’aime pas – et à stigmatiser les plus fragiles, de plus en plus nombreuses.
Les six phrases qui faussent déjà le débat !

"Enrayer une défiance grandissante à l'égard des vaccins".


"Contrer ceux qui jouent sur des peurs scientifiques infondées".


"Mettre en avant le risque sanitaire que font prendre les parents hostiles à la vaccination à l'ensemble de la population".


"Se vacciner n'est pas un geste de confort, ni uniquement un choix individuel. C'est un enjeu collectif".


"Les premières victimes du refus de vaccination sont les populations les plus fragiles, enfants et personnes âgées".


"Le risque est aussi de voir réapparaître certaines maladies contagieuses et mortelles, qui ont aujourd'hui complètement disparu".
Curieusement, la ministre ne parle ni des coûts, ni des laboratoires étrangement muets, et encore moins des pharmacies en rupture de stock. Quant aux nombreux médecins réticents à vacciner les nourrissons à 2 mois contre l’hépatite B, ils sont certainement comme moi rétrogrades !

Le discernement médical n’est plus possible : autoritarisme ou dictature ? C’est ainsi que, de droite ou de gauche, les dictatures ont toujours fonctionné.

Vous êtes plus de 550 000 à recevoir cette lettre, et à ce jour près de 750 000 personnes ont signé la pétition.

Je reçois beaucoup de lettres de soutien et ne peux répondre à chacune.

Vous le savez, je ne peux plus consulter à l’Institut du cancer de Montpellier depuis le 7 juillet dernier. C’est un « ordre d’en haut ».

Mais je ne baisse pas les bras, au contraire. Je profite du calme de l’été pour préparer pour la rentrée, avec des spécialistes hyper-compétents, les réponses à toutes vos questions dans un livre à paraître : « VACCINS – Comment s’y retrouver sans perdre la santé ? »

Vous l’avez compris, sans langue de bois, je défendrai scientifiquement les familles pour la santé de leurs enfants, hors de toute pression politique ou des puissants laboratoires qui savent très bien ce que les familles attendent.

Pour le moment, continuez autour de vous à faire signer la pétition si vous êtes d’accord.

Continuez à vous reposer en vacances, à préparer la rentrée, en attendant les résultats des enquêtes de Familles de France sur les coûts des fournitures scolaires de l’enfant entrant au collège. Elles se préparent dans de nombreux départements.

Bien cordialement à vous tous.

Pr Henri Joyeux

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Oss
Oss 16/12/2016 à 08h03

Bonjour,

Je viens de recevoir le lien suivant concernant les projets gouvernementaux relatifs aux vaccinations de nos enfants :

LIEN

A vous de juger utile ou pas de suivre les propos de ce lien.

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Bettyoups
Bettyoups 16/12/2016 à 12h23

Merci je viens de signer !!!

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Celkle
Celkle 16/12/2016 à 19h03

Il faut vacciner les enfants, mais ce que veut faire le gvt nous emmène droit dans le mur...

ceci dit..;dire qu'il n'y a pas de recul avec le HPV ou refuser de devoir vacciner les ado mâle, faut quand même réfléchir un peu... ce vaccin se fait depuis des années dans les pays du nord, alors dire qu'il n'y a pas recul, c'est plus que gonflé...

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Bettyoups
Bettyoups 17/12/2016 à 07h03

Peut-être mais depuis combien d'années ? 5 , 10 ans ? Les personnes qui ont une quarantaine d'années qui ont une sclérose en plaque , ont été vacciné enfants , là il y en a du recul ! Les laboratoires nous empoisonnent au non du sacro-saint argent ! Je ne dis pas qu'il ne faut pas se faire vacciner mais avec des produits plus sûr.

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Celkle
Celkle 17/12/2016 à 11h45

oh non, please pas l'histoire sep et vaccin ! !
il a été démontré ( mais les ligues AT vaccinale s'en gardent bien d'en parler) que le vaccin n'est pas à l'origine de la sep.
Ces personnes, et on est tous désolés pour elles, étaient porteuses saines, et auraient déclenché une sep tot ou tard .

Pour exemple : c'est comme si au lieu d'acheter ta baguette dans la boulangerie habituelle , tu vas aujourd'hui chez Duchmol. et que le soir, tu es hospitalisé pour problèmes cardiaques. cela reviendrait à dire que le pain de chez Duchmol cause des problèmes cardiaques.
Ce n'est pas parce que 2 événements malheureux arrivent en même temps qu'ils ont un lien

le recul sur le vaccin HPV est de plus de 15 ans,

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Oss
Oss 17/12/2016 à 12h54

Oui mais depuis 40 ans on nous a bassiné avec les oeufs nocifs pour le cholestérol et désormais, les médecins américains, anglais et quelques français, font marche arrière ! Et entre temps les laboratoires, qui savaient que c'était une lubie, se sont enrichis sur le dos des sécurités sociales. Et d'autres scandales vont voir le jour comme ceux du Médiator, du talc Morange, du sang contaminé, de l'Arc, et du vaccin de l'hépatite B qui commence à remuer les consciences mais pas suffisamment encore.

Je suis pour vacciner, cela va de soi. Mais j'estime que les parents doivent pouvoir conserver leur libre arbitre en la matière. Un parent médecin homéopathe nous a déconseillé de vacciner notre petit garçon de la diphtérie que vers l'âge de 10 ans. Car, à l'âge auquel actuellement on vaccine les enfants, on ne peut garantir que leur corps pourra endosser une telle dose de vaccins. Et des médecins, de plus en plus, estiment qu'il est nécessaire d'étaler les doses et, pour beaucoup de vaccins, de les administrer un peu plus tard. Il a été vacciné à 9 ans.

Que dire du vaccin contre le H1N1 où on a vacciné à tour de bras, qu'une ministre de la santé en a fait la publicité et, en fait, la maladie n'a pas eu d'effet sur la population non vaccinée. Et entre temps les laboratoires sont passés à la caisse.

A-t-on vraiment du recul sur ce vaccin contre le cancer de l'utérus et que l'on veut administrer aux petites filles ? Sait-on que la pilule du lendemain représente pour de grands spécialiste un danger pour la santé de la fille ? Sait-on que la pillule elle-même est soupçonnée de favoriser le cancer du sein ?

Oui, il faut aider les malades, oui il faut les guérir mais en prenant en compte de plus en plus les méthodes éprouvées de la santé naturelle.

savez-vous que les anti-inflammatoires chimiques (Ibuprofen, Diclofenac, etc.) prescrits contre l’arthrose causent des hémorragies, des trous dans l’estomac et des crises cardiaques ?

savez-vous que les somnifères et anxiolytiques de type « benzodiazépines » (Valium, Xanax, etc.) augmentent le risque d’Alzheimer de 80 % en seulement 6 mois de prise ?

savez-vous que les médicaments anti-cholestérol (statines) sont toxiques pour les muscles, le cerveau, les reins… et sont une cause directe de cancer et de diabète ?

savez-vous que les médicaments antidépresseurs causent l’ostéoporose, un risque accru de crise cardiaque et une chute de la libido ?

Ce n'est pas moi qui le dit mais les études réalisées ont été publiés récemment dans les revues médicales les plus prestigieuses (The Lancet, The British Medical Journal, etc.).

Savez-vous, enfin, que les grandes multinationales de l’industrie pharmaceutique : Sanofi, Merck, Pfizer, GSK, Roche, Bayer, Novartis… depuis plus de 30 ans, ont pris le contrôle de la formation de nos médecins – leur formation initiale et leur formation continue ?

Savez-vous que l'ensemble de nos journeaux (quotidiens, hebdomadaires...), reçoivent de larges subventions de ces laboratoires ?

Ce qu'il faut savoir c'est que ces firmes ne peuvent pas faire de superprofits sur les traitements naturels mais pour les médicaments chimiques, c’est une autre histoire. Le Sovaldi, ce médicament contre l’hépatite s'est vendu 41 000 euros en France… alors qu’il ne coûte que 100 euros à fabriquer !

Je suis de plus en plus écoeuré de ce pouvoir de l'argent qui enrichi les multinationales et leurs dirigeants alors que les petits nécessiteux tirent la langue et en plus on les accable. Et pourtant, je ne suis pas un homme aux pensées de gauche !

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Celkle
Celkle 18/12/2016 à 19h24

et tu savais que le doliprane, le simple paracétamol peut tuer ? ou te bousiller les reins ?


Il faut aussi qu'on trouve plus facilement des infos alarmistes que des infos fiables sur la santé. le ministère est une brêle de communication !

le libre arbitre des parents ok, mais encore faut-il qu'il soit objectif ...
[Lien]

[Lien]

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Celkle
Celkle 18/12/2016 à 19h26

Oss:

Ce n'est pas moi qui le dit mais les études réalisées ont été publiés récemment dans les revues médicales les plus prestigieuses (The Lancet, The British Medical Journal, etc.).

Savez-vous, enfin, que les grandes multinationales de l’industrie pharmaceutique : Sanofi, Merck, Pfizer, GSK, Roche, Bayer, Novartis… depuis plus de 30 ans, ont pris le contrôle de la formation de nos médecins – leur formation initiale et leur formation continue ?

=>Alors là y'a un problème : des études le disent, mais les médecins qui les font sont des vendus..;donc ton argument ne tient plus, me trompe-je ?

Savez-vous que l'ensemble de nos journeaux (quotidiens, hebdomadaires...), reçoivent de larges subventions de ces laboratoires ?

=>des arguements pour étayer ce propos ? (je ne suis pas journaliste, je veux juste comprendre)

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Oss
Oss 20/12/2016 à 14h16

Bonjour Celkle

Merci à toi pour contribuer à ces échanges très intéressants sur un problème de santé actuelle. Comme je l’ai déjà mentionné ici, je ne suis pas médecin, je n’ai pas fait d’études de médecine. Je suis un papy soucieux de la santé de mes enfants et de mes petits-enfants. Pour ce faire, je lis beaucoup d’ouvrages médicaux, je reçois des lettres, extraits de conférence, articles de la part du milieu médical. Je m’intéresse particulièrement à tout ce qui touche la nourriture, l’exploitation alimentaire, le bien-être de l’individu et, ainsi, je me permets de retranscrire des articles de santé pour aider ou informer tout un chacun sur le site. Et cet intérêt m'a été insuflé par un parent médecin.

Donc, les propos que j’avance sont ceux que j’ai puisés dans les documents cités ci-dessus sans toutefois aliéner la pensée de leurs auteurs.

Donc, pour parler de cette rubrique concernant la vaccination et à titre de pure information des membres du site qui souhaiteraient simplement s’informer, je vous livre ci-dessous, dans son intégralité, l’article du docteur Bazin.

En outre, s’ajoute plusieurs liens qui vous permettront d’étayer votre sentiment en la matière et de faire votre propre jugement.

Enfin, j’affirme ne faire partie d’aucune secte ou organisme de la sorte et que je ne veux absolument pas influencer tel ou tel membre de notre site.

Voici les liens :

[Lien]

[Lien]

[Lien]

[Lien]

[Lien]

Et voici la lettre :

C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.

Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui.

Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet,New England Journal of Medicine, Brain, etc.).

Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.

Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.

Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».

Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort.

En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.

Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.

Une découverte mondialement acclamée, jusqu’à ce que…

Lorsqu’en 1997, il découvre une nouvelle maladie, qu’il baptisera « myofasciite à macrophage », le Professeur Gherardi est acclamé dans le monde entier.

La « signature » de cette maladie est troublante : de « grandes nappes de cellules bleues », dites « macrophages », apparaissent dans le muscle deltoïde du bras… à un endroit où l’on n’avait encore jamais observé ce type de lésion !

La souffrance des patients, elle aussi, déroute les médecins : douleurs invalidantes des muscles et des articulations, épuisement permanent, troubles cognitifs inquiétants… Voilà des symptômes bien étranges !

En France et dans le monde, c’est le branle-bas de combat. L’Institut de Veille sanitaire (InVS) prend l’affaire très au sérieux et lance une étude de terrain approfondie.

En 1998, la plus prestigieuse revue médicale au monde, The Lancet, publie l’article du Professeur Gherardi et de ses collègues détaillant leur découverte. [1] Immédiatement, il est invité à s’exprimer dans les plus grands médias, dont la BBC en Angleterre.

Tout allait bien… jusqu’à ce qu’il découvre la cause de l’apparition de ces mystérieux macrophages bleus.

En octobre 1998, premier coup de tonnerre : le Pr Gherardi apprend que ces cellules bleues contiennent… de l’aluminium !

Et il n’a pas besoin de chercher bien loin pour comprendre comment ce métal s’est retrouvé là.

La suite ci-après :

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Oss
Oss 20/12/2016 à 14h17

L’aluminium, ce métal toxique utilisé dans les vaccins

Car les organismes vivants ne contiennent normalement pas le moindre atome d’aluminium. Du fer, oui, en quantité. Mais de l’aluminium, jamais, c’est un métal trop toxique pour nos cellules.

Malheureusement, depuis que l’industrie a commencé à extraire ce métal de la croûte terrestre, on en trouve un peu partout autour de nous. Jusque dans nos déodorants, dentifrices, crèmes solaires et additifs alimentaires !

Et on en trouve aussi dans… la plupart des vaccins.

Des vaccins que l’on injecte dans le muscle deltoïde du bras, celui-là même où l’on a observé les grandes nappes bleues. Pas de doute possible : l’aluminium de la myofasciite à macrophage provient des vaccins !

Rapidement, le Professeur Gherardi confirme que 100 % de ses malades avaient bien subi une injection de vaccins contenant de l’aluminium dans les deux ou trois ans précédant l’apparition de leur maladie.

Le Pr Gherardi a même injecté le vaccin contre l’hépatite B dans le muscle d’un rat… et il a observé quelques semaines plus tard, au microscope, toutes les caractéristiques de la maladie !

Restait encore une énigme : pourquoi cette maladie est-elle apparue au milieu des années 1990, alors que les adjuvants d’aluminium dans les vaccins étaient utilisés depuis plus longtemps ?

La réponse est d’une simplicité lumineuse : parce qu’il a été décidé mondialement, au début des années 1990, de vacciner dans le muscle et non plus sous la peau !

Et comme la France a décidé de lancer une campagne massive de vaccination de l’hépatite B entre 1994 et 1997, il n’est pas étonnant que ce soit le pays où des centaines de cas ont subitement émergé !

Tout ceci, le Pr Gherardi en fait la démonstration implacable devant l’Organisation mondiale de la Santé en 1999. Les plus grands experts sont venus du monde entier pour l’écouter. Dans la foulée, il publie un article de synthèse lumineux dans une grande revue médicale. [2]

Bien sûr, il reste quelques éléments à éclaircir, mais les preuves sont alors largement suffisantes pour agir sans tarder.

L’urgence est d’autant plus grande que l’on vaccine tous les jours des milliers de patients avec des vaccins contenant de l’aluminium ! Certes, la myofasciite à macrophage est très rare, fort heureusement, mais elle ruine l’existence des malheureux qui sont frappés.

Le bon sens voudrait donc qu’on lance au plus vite de vastes études scientifiques complémentaires… et que l’on force les laboratoires à remplacer l’aluminium des vaccins par des adjuvants moins toxiques (et il en existe !).

Mais à la grande surprise du Pr Gherardi, ce n’est pas ce qui se produisit. Bien au contraire.

On l’empêche de chercher la vérité !!!

À partir du moment où il a eu le malheur de mettre en cause les adjuvants dans les vaccins, tout a été mis en œuvre pour l’empêcher de dévoiler la vérité.

Il est impossible de retracer ici les innombrables coups bas et embûches subis par le Pr Gherardi depuis 1999 – et je vous conseille vraiment de lire son livre passionnant, Toxic Story : deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins.

Il y raconte par exemple ce qu’a osé lui dire, les yeux dans les yeux un grand Professeur de médecine, le Pr M-F Kahn :
« Cher ami, je crois que vous avez raison… Mais je dirai toujours que vous avez tort ! »

Pourquoi ? Non pas parce que ce médecin était « vendu » aux laboratoires. Mais, raconte le Professeur Gherardi, parce que la myofasciite à macrophage a le malheur d’être ce que l’on appelle une maladie « iatrogène ». C’est à direprovoquée par un acte médical… et donc par des médecins !

Il n’est jamais évident de remettre en cause sa propre profession et c’est même contraire à la déontologie des médecins. [3] Et c’est encore pire lorsque l’on touche à la vaccination, LE grand tabou de la médecine moderne ! [4]

Rapidement, le Pr Gherardi est « lâché » par la plupart de ses collègues :
« Alors qu’en 1998 tout le monde se battait pour figurer sur la photo de famille de la myofasciite à macrophages, dès que le fatidique mot « vaccin » a été prononcé, chacun s’est retiré sur la pointe des pieds, fuyant un débat où il n’y avait que des coups à prendre. »

Et des coups, le Pr Gherardi ne manquera pas d’en recevoir.

Le mystérieux syndrome de la guerre du Golfe

Ce qui se passe en 2001 est digne des grands films d’espionnage. L’événement se produit au moment où le Pr Gherardi s’apprêtait à vérifier si le « syndrome de la guerre du Golfe » était, oui ou non, causé par les vaccins.

Petit rappel : de nombreux soldats britanniques et américains envoyés en Irak en 1991 ont souffert de symptômes inexpliqués : douleurs musculaires et articulaires, fatigue persistante, troubles de la mémoire, etc.

C’est un vrai mystère médical. Toutes les hypothèses ont été envisagées… sauf la plus probable [5], à savoir le programme de vaccination intensif subi par les soldats juste avant les opérations, notamment contre l’hépatite A et B.

En 2001, une association de vétérans britanniques veut en avoir le cœur net. Elle contacte donc le Pr Gherardi pour lui demander d’examiner 12 soldats souffrant de ce fameux « syndrome de la guerre du Golfe », et de vérifier si le muscle de leur avant-bras ne contiendrait pas les fameux macrophages bleus.

Le Pr Gherardi accepte immédiatement, trop heureux de vérifier cette hypothèse. Tout est planifié, et son service est sur le pied de guerre pour accueillir dignement ces vétérans malades.

Mais croyez-le ou non, la veille de la venue de ces vétérans, un mystérieux correspondant appelle le Pr Gherardi pour l’informer que la venue des soldats britanniques est « annulée ».

Comme cela, du jour au lendemain, sans la moindre explication !

Mais le pire reste à venir.

L’Agence française de sécurité sanitaire essaie de l’éliminer (socialement)

En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) recommande officiellement de stopper toute recherche sur le lien entre aluminium et la myofasciite à macrophages.

Cette autorité « sanitaire » décide donc d’enterrer le dossier, malgré les preuves accablantes déjà réunies !

Résultat : du jour au lendemain, le Pr Gherardi perd tout espoir de voir ses recherches financées par l’État. Ce qui le condamne, lui et son équipe, à la marginalité !

Inutile de préciser que les « experts » ayant pris cette décision dramatique avaient tous des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique. Mais le scandale du Médiator n’avait pas encore éclaté, et les conflits d’intérêt n’étaient pas aussi suspects qu’aujourd’hui.

Écoutons le Pr Gherardi :
« L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique (…). Financée à 80 % par l’industrie, c’est prioritairement un outil à son service. »


En ce triste mois de mai 2004, les industriels ont donc eu la peau du Pr Gherardi. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient.

Car c’était sans compter sur son intelligence et sa détermination exceptionnelles.

Seul contre tous, il apporte la preuve définitive

La dernière pièce du puzzle, celle qui lui fait encore défaut, c’est la démonstration physiologique du lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie.

Statistiquement, il ne fait aucun doute que les terribles symptômes dont souffrent ces malades sont bien liés aux vaccins à l’aluminium.

Mais biologiquement, comment cela se passe-t-il ? Comment une dose infime d’aluminium injectée dans un muscle pourrait-elle causer de tels dégâts ?

C’est la toute dernière clé du mystère… et il faudra de longues années au Pr Gherardi, privé de financements nationaux et internationaux, pour la révéler au grand jour.

Mais il y parvint enfin, en 2013, dans article publié dans BMC Medicine. [6]

Jusqu’à cette date, tout le monde croyait (ou voulait croire) que l’aluminium des vaccins se dissolvait dans le sang. Si c’était le cas, il ne pouvait pas causer la moindre maladie : l’aluminium serait alors rapidement filtré par les reins et expulsé dans les urines.

Mais des expériences réalisées sur des souris prouvent que cela ne se passe pas comme cela. En réalité, 50 % des particules d’aluminium des vaccins migrent vers les ganglions, la rate… puis s’accumulent dans le cerveau !

Et ce qu’a montré le Pr Gherardi, c’est que ce parcours catastrophique de l’aluminium vers le cerveau a lieu dans un cas et un cas uniquement : lorsqu’on injecte le vaccin dans le muscle. Car cela déclenche l’apparition de cellules immunitaires (macrophages) qui viennent « gober » l’aluminium et empêcher sa dissolution dans le sang !

Encore plus étonnant : on retrouve d’autant plus d’aluminium dans le cerveau des souris que les doses d’aluminium injectées sont faiblement concentrées ! Pourquoi ? Tout simplement parce que des doses trop fortes ne peuvent pas être « gobées » par les macrophages – et ne sont donc pas emmenées dans le cerveau !

Ce qui réfute de manière éclatante l’argument des labos, qui répètent sur tous les tons que la dose d’aluminium injectée est trop faible pour pouvoir être dangereuse !

Une maladie qui ne frappe pas au hasard

Et comme si cela ne suffisait pas, le Pr Gherardi et son équipe ont même réussi à montrer pourquoi la maladie ne touche qu’une petite fraction de ceux qui sont vaccinés.

Comme toujours avec les métaux lourds, c’est une question de loterie génétique.

Par exemple, certaines personnes ne parviennent pas à éliminer correctement le fer qu’ils avalent dans leur alimentation – c’est l’hémochromatose, une maladie génétique qui touche 1 personne sur 200.

D’autres ne se détoxifient pas bien du mercure [7] : dans leur cas, manger trop de poisson ou avoir plusieurs amalgames au mercure (« plombages ») dans la bouche peut créer de graves troubles cognitifs.

S’agissant de l’aluminium, le Pr Gherardi a admirablement montré que ceux qui souffrent de la myofasciite à macrophage avaient des variations génétiques rares et spécifiques au sein des 34 gènes qui déterminent la détoxification de ce métal.

Voilà pourquoi vous ne risquez pas grand-chose à vous faire vacciner… sauf si vous avez le malheur de faire partie des personnes « vulnérables » !

C’est vrai pour la myofasciite à macrophage mais aussi pour d’autres graves problèmes de santé.

Quelques exemples des graves effets secondaires des vaccins

Voici quelques exemples des drames les plus criants causés par certains vaccins :


• Le vaccin contre les rotavirus (injectés aux nourrissons contre la gastroentérite) peut entraîner la mort des nourrissons. On le sait grâce au système de pharmacovigilance français, qui a recensé 2 décès et 201 effets indésirables graves chez les bébés vaccinés ; [8]
• Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix a causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable. C’est une étude publiée dans le très respecté British Medical Journalen 2013 qui l’a révélé ; [9]
• Le vaccin contre l’hépatite B a été incriminé dans plusieurs études solides pour avoir déclenché de nombreux cas de sclérose en plaque ; [10] [11] [12]
• Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a provoqué en France plusieurs dizaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie neurologique grave. C’est l’Agence du médicament elle-même qui l’a reconnu en 2015. [13]
Et bien sûr, tous les vaccins peuvent provoquer de graves réactions allergiques.

Faire toute la vérité sur les vaccins

Au total, il est clair que certains vaccins et certains de leurs adjuvants (aluminium, squalène) posent de graves problèmes de santé à une petite minorité d’entre nous.

Il est important de le reconnaître publiquement, plutôt que de faire de la vaccination un tabou (« la vaccination, ça ne se discute pas », a osé dire la Ministre de la Santé en 2015 !).

Il n’est pas question d’être « anti-vaccin » par principe… mais il n’est pas question non plus d’être « pro-vaccin » aveugle.

Il faut simplement reconnaître que, comme tout acte médical, il peut avoir de graves conséquences. Et il faut donc examiner au cas par cas si ses bienfaits l’emportent sur ses dangers.

Tout dépend de la maladie que l’on cherche à éviter, de la nature des vaccins, de leurs adjuvants… et de la vulnérabilité personnelle de chacun d’entre nous !

Ce doit donc être une décision médicale et individuelle, et non pas administrative et collective, comme les labos le réclament, pour sécuriser leurs profits !

La prudence vis-à-vis des vaccins est d’autant plus légitime que la recherche scientifique est manipulée par de puissants intérêts.

C’est même encore pire pour les vaccins que pour les autres médicaments !

Pourquoi ? Parce qu’on se refuse à faire pour les vaccins ce qu’on fait pourtous les médicaments : des études en double aveugle, contre placebo. C’est à dire prendre un groupe de patients, le séparer en deux groupes, vacciner un groupe mais pas l’autre (sans que personne ne sache qui a été vacciné et qui ne l’a pas été), puis observer les résultats, au bout de quelques années.

Résultat : la science des vaccins est tout sauf solide… et l’industrie pharmaceutique s’en donne à cœur joie pour lui faire dire ce qui l’arrange.

Avec la complicité, hélas, de certains médecins sincères, dont la priorité absolue est d’éviter que l’opinion publique ne perde confiance dans la vaccination.

Pour eux, la population est un « petit enfant, dont il faut redouter les réactions inconsidérées, quitte à taire les dangers qui le menacent pour ne pas risquer de l’effrayer ». [14]

Comme si vous et moi n’étions pas capables d’entendre la vérité et de faire des choix raisonnés pour notre avenir et celui de nos enfants !

[1] Macrophagic myofasciitis: an emerging entity. RK Gherardi et all. The Lancet, August 1998.

[2] Macrophagic myofasciitis lesions assess long-term persistence of vaccine-derived aluminium hydroxide in muscle. Rk Gherardi et all. Brain, 2001.

[3] Article 31 du Code de déontologie du Conseil National de l’Ordre des Médecins.

[4] Comme le dit si bien le Pr Gherardi, page 83 : « Dans le monde médical, le vaccin représente un véritable totem que l’on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en objet d’étude scientifique comme les autres, considérer qu’il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ? Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques ».

[5] « Si on me demandait de sélectionner quelques facteurs de risque, je retiendrais non pas l’uranium appauvri ni la pyridostigmine mais la vaccination », a par exemple déclaré à ce sujet le Pr Roger Salamon devant une mission d’information parlementaire.

[6] Slow CCL2-dependent translocation of biopersistent particles from muscle to brain. Zakir Khan et all. BMC Medecine 2013

[7] Modification of neurobehavioral effects of mercury by genetic polymorphisms of metallothionein in children. James S Woods et all. Neurotoxicol Teratol 2013 Sept-Oct.

[8] Avis relatif à la vaccination des nourrissons vis-à-vis des gastroentérites à rotavirus. Haut Conseil de la Santé publique. Avril 2015

[9] Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis. Elizabeth Miller et all. BMJ 2013.

[10] Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis. A prospective study. CME 2004

[11] Hepatitis B vaccine and first episodes of central nervous system demyelinating disorders: a comparison between reported and expected number of cases. Annie Fourrier et all. BrJ Clin Pharmacol. 2001

[12] Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood. Yann Mikaeloff, Guillaume Caridade, Samy Suissa et marc Tardieu. Neurology 2010.

[13] Vaccination contre les infections à HPV et risque de maladies auto-immunes : une étude Cnamts/ANSM rassurante - Point d’information. 2015

[14] Selon les termes bien choisis du Pr Gherardi, page 74.

  • Ambassadeur
  • Smile (1)

Oss
Oss 20/12/2016 à 14h18

Donc information à tous et j'arrête là ce sujet. Merci

  • Ambassadeur
  • Smile (2)

Bettyoups
Bettyoups 20/12/2016 à 20h38

Tu clos la discussion ????

  • Ambassadeur
  • Smile (1)

Oss
Oss 20/12/2016 à 20h39

Je répondrais aux questions si l'on m'en pose, sinon j'ai pratiquement tout dit sur le sujet. Donc, s'il y a des questions...

  • Ambassadeur
  • Smile (1)

Bettyoups
Bettyoups 20/12/2016 à 20h40

Ah ok ! Merci !

  • Ambassadeur
  • Smile (2)

Celkle
Celkle 21/12/2016 à 15h11

Merci aussi à toi pour ces écharnages hyper intéressants, et merci pour les liens.

« L’aluminium, ce métal toxique utilisé dans les vaccins »
=> sauf qu'un minimum est quand même nécessaire pour que le vaccin soit efficace.
Après pour le dosage, je ne sais pas s'il y en a trop ou pas, volontairement ou pas, ce n'est plus de mes compétences

comme pour l'aluminium, à une époque on disait que la vaccination pouvait créer des syndrome de guillain barré..
+> sauf que le risque de survenue étant 10x plus élevée après une grippe qu'après une vaccination anti grippe

Mais là où je suis d'accord avec toi, c'est sur le manque d'études en double aveugle,
et j'ajouterai sur la multiplication des conflits d’intérêts des personnes chargées d'étudier les effets ou de rendre des avis.

Faut-il pour autant diaboliser ?

C'est marrant( en fait c'est plutot désolant ...) , mais dans mon boulot, je croise beaucoup de gens qui se désole que les populations de l'est ou les migrants des pays plus lointains ne soient pas vaccinés comme nous et , je cite, « nous ramène la tuberculose ou d'autres trucs »

donc en résumé : la vaccination oui, mais pour les autres ?
récemment (cette année ou fin d'année dernière je ne sais plus) , il y a eu des enfants morts de la rougeole ! Punaise en 2016 ! faut d'avoir été vaccinés.

Je pense qu'il faudrait surtout que les gens soient informés sur les maladies, les virus ou bactéries (qu'est-ce ? les différences ? leurs effets...) et ainsi pourraient prendre une décision en toute conscience

  • Elite
  • Smile (1)

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