Enfin ! J'ai failli attendre ! Laisse moi le temps d'aller faire quelques courses et je reviens !
chaque soir Charlène se plaisait de lire une histoire avant qu'elle ne s'endorme....................
Poursuivant son livre ,elle se plaisait à dire qu'elle ne s'endormait qu'à la dernière page....
BettyOups, CHENAPAN !
(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) Charlène avant Sa marotte reçu de ses parents Isabelle tombe en syncope une histoire de lire était éducative tombait en lecture chaque soir « elle ses esprits son héritage poursuivant ainsi du livre ». se plaisait à dire : qu’elle ne s’endorme qu’à la dernière ne reprenant comme à nocturne on page
................. Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant..................... se plaisait à dire : .................................qu'à la dernière page...................
Et c'est qui L.Oulitskaïa? Hein ? Pfffftt ferais-tu !
Chaque soir, la marotte de Charlène était, avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant sa lecture se plaisait à dire : son héritage tombait en syncope ainsi ...
................. Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ses esprits..................... se plaisait à dire : comme son héritage reçu de ses parents ...... .................................qu'à la dernière page tombait...................
Je l'ai rajouté
(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) Charlène avant Sa marotte reçu de ses parents Isabelle tombe en syncope une histoire de lire était éducative tombait en lecture chaque soir « elle ses esprits son héritage poursuivant ainsi du livre ». se plaisait à dire : qu’elle ne s’endorme qu’à la dernière ne reprenant comme à nocturne on page
...marotte .......était ...... chaque soir ... Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ...... son héritage reçu de ses parents. .................. se plaisait à dire : .................... en syncope .............qu'à la dernière page...................
Sa marotte nocturne était .... chaque soir ... Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage reçu de ses parents. se plaisait à dire : .(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) ..........qu'elle tombait en syncope .............qu'à la dernière page...................
comme marotte .......était une histoire éducative reprenant en lecture Isabelle chaque soir Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ...... son héritage reçu de ses parents « elle ses esprits ainsi du livre ».. .................. se plaisait à dire : .................... en syncope .............qu'à la dernière page tombait (L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) .
(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) Charlène avant Sa marotte reçu de ses parents Isabelle tombe en syncope une histoire de lire était éducative tombait en lecture chaque soir « elle ses esprits son héritage poursuivant ainsi du livre ». se plaisait à dire : qu’elle ne s’endorme qu’à la dernière ne reprenant comme à nocturne on page
Sa marotte .......était ...... chaque soir ... Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage ..... reçu de ses parents. .................. se plaisait à dire : .... tombait ........................... en syncope .............qu'à la dernière page...................(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe).
Kikooo !
Sa marotte éducative était de lire chaque soir une histoire à Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage ..... reçu de ses parents. ..................Isabelle se plaisait à dire : .... tombait .....................elle tombe en syncope ne reprenant qu'à la dernière page 《ses esprits du livre 》..................(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe).
bonjour,
Sa marotte tombe était de lire une histoire éducative chaque soir à Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage nocturne reçu de ses parents. Isabelle « elle ses esprits du livre » se plaisait à dire on tombait comme en syncope ne reprenant qu'à la dernière page en lecture (L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe).
Bonjour
(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) Charlène avant Sa marotte reçu de ses parents Isabelle tombe en syncope une histoire de lire était éducative tombait en lecture chaque soir « elle ses esprits son héritage poursuivant ainsi du livre ». se plaisait à dire : qu’elle ne s’endorme qu’à la dernière ne reprenant comme à nocturne on page
Sa marotte éducative était de lire une histoire chaque soir à Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage nocturne reçu de ses parents. Isabelle se plaisait à dire : .... tombait ........................... en syncope, ne reprenant .............qu'à la dernière page...................(L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe).
Sa marotte éducative était de lire une histoire chaque soir à Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage nocturne reçu de ses parents. Isabelle se plaisait à dire : en lecture, elle tombait comme on tombe en syncope, ne reprenant ses esprits qu'à la dernière page du livre (L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe)
L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe) Charlène avant Sa marotte reçu de ses parents Isabelle tombe en syncope une histoire de lire était éducative tombait en lecture chaque soir « elle ses esprits son héritage poursuivant ainsi du livre ». se plaisait à dire : qu’elle ne s’endorme qu’à la dernière ne reprenant comme à nocturne on page
Sa marotte éducative était de lire une histoire chaque soir à Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage nocturne reçu de ses parents. Isabelle se plaisait à dire : elle tombait ........... comme on tombe en syncope, ne reprenant ses esprits qu'à la dernière page du livre (L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe)
Je croise les doigts !
Sa marotte éducative était de lire une histoire chaque soir à Charlène avant qu'elle ne s'endorme, poursuivant ainsi son héritage nocturne reçu de ses parents. Isabelle se plaisait à dire : elle tombait en lecture comme on tombe en syncope, ne reprenant ses esprits qu'à la dernière page du livre (L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe
Bravo BettyOups et merci Dany80 qui n'a pas démérité !
En arrivant au bas des escaliers, trois étages plus bas, il s’aperçut qu’il avait oublié ses clefs. Il remonta et, épuisé, au travers de la porte, il entendit sa femme parler et rire. Mon chéri fut le mot qui revenait.
Ayant fait du bruit en ouvrant la porte, sa femme s’arrêta de parler, sembla hésiter en pénétrant dans le vestibule de l’entrée en apercevant son mari. Ah, c’est toi ! Qu’as-tu encore oublié ?
Dans la chambre à côté, les pleurs d’un enfant se firent entendre. Charlène gémissait en poussant des petits cris. Tu lui as donné son médicament lui demanda-t-il ? Je ne t’ai pas attendu pour le faire !
Je t’ai entendue dire mon chéri lorsque je suis entré, à qui t’adressais-tu ? Tu m’espionnes maintenant ? Pas du tout mais j’aimerais savoir aussi pourquoi tu riais au téléphone.
Charlène avait la varicelle depuis quelques jours. Sa mère lui avait mis des gants afin qu’elle ne se gratte pas. Cet inconfort la faisait hurler tant les démangeaisons devenaient insupportables.
Tu ne m’as répondu, je te le redemande, à qui disais-tu mon chéri ? Les joues d’Isabelle rosirent lentement, ses oreilles chauffaient, sa gorge se noua, devenant sèche.
Arthur avait connu Isabelle au cours d’une soirée chez des amis communs ; l’année suivante, ils se marièrent puis Charlène est arrivée. Ce couple faisait l’admiration de la famille et des amis créant, parfois, une certaine jalousie dans leur entourage.
La jalousie d’Arthur devenait maladive, ne supportant pas les regards lancés par des hommes sur sa femme. Il faut dire qu’à 26 ans et malgré la grossesse, elle dégageait une telle fraîcheur qui faisait envie aux autres femmes.
Commerciale au département livres d’une enseigne connue, Isabelle avait une grande connaissance des dernières parutions tant françaises qu’étrangères et elle mettait un point d’honneur à pouvoir renseigner les lecteurs avides de nouveautés.
Sa marotte éducative était de lire une histoire chaque soir à Charlène avant qu’elle ne s’endorme, poursuivant ainsi son héritage nocturne reçu de ses parents. Isabelle se plaisait à dire : « Elle tombait en lecture comme on tombe en syncope, ne reprenant ses esprits qu'à la dernière page du livre. », (L. Oulitskaïa, une femme de lettres russe).
Ouf !!!! Merci pour cette phrase de ouf ! Looool !!
l’on repense s'est ceux lesquels rêves ou rire et moments qui à pleurer dans ont avait bonheur ceux on senti aux de nous fait que aux seul(e) on
bravo bettyoups, et merci oss pour cette belle lecture....
s'est aux rêves et moments de bonheur que l'on repense dans ceux qui nous ont fait rire ou pleurer.....................
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