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ILS DEVAIENT PARTIR EN RETRAITE... : discussion

Oss
Oss le 08/06/2016 à 19h59
Le camping-car trônait, rutilant, devant la petite maison. Flambant neuf, il venait d’être livré. Les pleins sont faits. Les cartes routières, les itinéraires sont étudiés à fond ; demain, ce sera le départ vers l’Espagne, l’Andalousie et pourquoi pas, pousser une petite pointe jusqu’au Maroc.

Sa femme s'est installée sur le siège du passager. Les valises sont chargées. Tous ses papiers sont en règle. Après 40 ans d’une carrière qui n’avait pas toujours été drôle dans une grande entreprise, c’est désormais la retraite tant attendue et méritée. Michel monte à bord du camping-car, met la clé sur le contact, pose le pied sur l’embrayage et c’est alors que…

Patatras. Michel se penche en avant, pose la main sur sa poitrine, pousse un faible cri et s’écroule sur le volant, foudroyé par l’infarctus. Le beau rêve de Michel et de sa femme se termina ce jour-là, aux urgences du CHU. Malgré l’arrivée rapide des secours, aucune intervention ne put le sauver. Comme 95 % des victimes d’un arrêt cardiaque, Michel n’a pas survécu.

Chaque année, des milliers de Français meurent d’un arrêt cardiaque peu après avoir pris leur retraite. Après avoir travaillé et épargné toute leur vie, ces personnes (autant d’hommes que de femmes) disparaissent brutalement sans avoir pu profiter des fruits de leur travail. Elles laissent derrière elles leur conjoint désemparé, leurs enfants et leurs petits-enfants abasourdis par une disparition brutale, tragique et injuste.

Ce fléau pourrait (devrait) être évité

Injuste, oui, car ce fléau devrait aujourd’hui être évité. Les cardiologues à la pointe de la recherche estiment qu’il est possible de réduire à presque zéro le risque de maladie cardiaque grâce à des solutions naturelles et accessibles à tous.

Presque zéro, cela paraît incroyable. Et pourtant, il s’agit d’une donnée scientifique incontestable validée par les plus grands chercheurs, publiée et republiée ces dernières années dans des revues telles que le British Medical Journal ou The Lancet, les références mondiales dans le domaine de la médecine.

Des centaines de milliers de vie pourraient être sauvées.

C’est une question de temps passé à l’extérieur, au soleil, à faire de l’exercice physique, et surtout une question d’alimentation.

L’alimentation idéale contre les maladies du cœur est la diète méditerranéenne. À base de légumes, poisson, olives, huile d’olive, légumineuses (haricots, lentilles), céréales complètes, fromage de chèvre, fruits à coque et fruits secs, herbes aromatiques et ail. Elle contient peu de produits céréaliers raffinés, peu de sucre, peu de produits laitiers. Les boissons sont le café et le thé (dans les pays arabes) et le vin rouge en Grèce, Sicile, en Italie et en Espagne. Elle est riche en antioxydants, dans les boissons (vin rouge, thé, café) et dans les légumes colorés. Elle est riche en acides gras oméga-3 présents dans les anchois et sardines, et en acides gras monoinsaturés (oméga-9) dans l’huile d’olive. Elle est enfin, il faut le reconnaître parce que c’est important, sobre. Les repas ne sont pas pantagruéliques.

Les effets de la diète méditerranéenne sont spectaculaires. Si vous avez déjà été victime d’un accident cardiovasculaire (infarctus ou AVC), cette diète réduit le risque de récidive de 50 à 70 % comme en témoignent les résultats d’une étude très rigoureuse.

Cependant, selon les organisateurs de l’étude, ce résultat pourrait être fortement amélioré jusqu’à atteindre près de zéro pour cent de risque de récidive, en incluant une revue globale du mode de vie. Dans l’étude citée ci-dessus, les participants n’avaient que des efforts assez minimes à faire du point de vue alimentaire et pratiquement aucun du point de vue de l’exercice et de l’exposition au soleil. S’ils avaient également fait du sport et pris plus de soleil pour augmenter leur taux de vitamine D, ils auraient très probablement encore réduit leur risque de mortalité.

Augmentez l’efficacité de votre diète méditerranéenne avec des compléments alimentaires
Les études scientifiques montrent en outre que des actifs naturels contribuent à diminuer encore le risque de maladies cardiovasculaires et à augmenter le nombre d’années de vie en bonne santé. Il s’agit de l’allicine, un composé organo-sulfuré présent dans l’ail et les plantes de la même famille (oignon, ciboulette, poireau, échalote), de la carnitine, un acide aminé qui renforce le muscle du cœur (le myocarde), et de la CoQ10, un « super-antioxydant » qui protège les artères. Voici comment.


L’ail réduit les 6 risques cardiovasculaires les plus dangereux L’ail est utilisé pour ses vertus thérapeutiques depuis l’Antiquité. Les études montrent qu’il a l’étonnante capacité de réduire les six principaux risques de maladies cardiovasculaires. L’ail est riche en allicine, un composé naturel hautement actif. Il contient aussi des glycosides, des lectines, des prostaglandines, des vitamines B et E, des anthocyanines et des flavonoïdes qui peuvent également présenter des effets bénéfiques pour la santé.

L’ail est aujourd’hui l’une des plantes les plus étudiées. Près de 5000 articles scientifiques prouvent qu’il protège contre le cancer et les infections. Mais ses effets contre les maladies cardiovasculaires sont particulièrement remarquables :
• L’ail réduit la dyslipidémie, un facteur clé dans le développement de l’athérosclérose et la formation de thrombus : en 2012 et en 2009, deux méta-analyses ont conclu que l’ail était efficace pour réduire à la fois le cholestérol total et les triglycérides. Une étude publiée en 2016 montre que la consommation d’un extrait d’ail favorise la diminution de la taille des plaques d’athérome chez des patients atteint d’un syndrome métabolique. Des études ont montré que les molécules actives de l’ail inhibent les enzymes impliquées dans la synthèse du cholestérol et réduisent le phénomène d’oxydation des LDL, un phénomène important dans le développement de l’athérosclérose.
• Il diminue la glycémie : la réduction de la glycémie permet d’abaisser la mortalité due aux complications cardiovasculaires. Une méta-analyse regroupant 7 études cliniques avec placebo pour un total de 390 patients diabétiques a été publiée en 2015. Les auteurs ont montré que l’ail réduit significativement la glycémie car il est capable d’augmenter la sensibilité des cellules à l’insuline, de stimuler la sécrétion d’insuline, de diminuer l’absorption du glucose au niveau intestinal et de stimuler la croissance des cellules bêta-pancréatiques qui sécrètent l’insuline.
• Il lutte contre le dépôt de calcium sur les parois artérielles : cette calcification accélère le développement des plaques d’athérosclérose. En 2004, une étude clinique menée sur 19 patients a montré que la consommation d’un extrait d’ail pendant un an permet de réduire la calcification des artères coronaires.
• Il régule la fonction plaquettaire : les plaquettes sont indispensables à la coagulation sanguine mais elles peuvent également participer à la formation de thromboses. Plusieurs études ont montré qu’une supplémentation avec un extrait d’ail diminue l’agrégation plaquettaire chez l’homme.
• Il exerce une action anti-inflammatoire : la protéine C-Réactive (ou CRP) est un marqueur inflammatoire impliqué dans le développement des maladies cardiovasculaires. En 2012 une étude clinique a montré qu’un extrait d’ail couplé à de la coenzyme Q10 diminue le taux de CRP dans le sang.
• Il réduit la tension artérielle : environ 50 % des accidents cardiovasculaires sont liés à un problème d’hypertension artérielle. Une méta-analyse publiée en 2016 et regroupant 20 études cliniques pour plus de 900 patients a montré une diminution significative de la pression mesurée lors des phases de contraction et de relâchement du cœur chez les patients présentant une hypertension et ayant suivi un traitement à base d’ail.
Les maladies du cœur et des artères reposent sur des mécanismes multiples et complexes. L’allicine présente dans l’ail a la faculté unique de lutter simultanément contre ces différents mécanismes, ce qui en fait un nutriment cardioprotecteur très intéressant. Pour compléter les effets de l’allicine, vous pouvez y associer deux autres merveilles de la nature dont les bienfaits sur la santé cardiovasculaire ont été prouvés scientifiquement. Il s’agit de la carnitine qui renforce votre muscle cardiaque et de lacoenzyme Q10 qui protège vos artères de l’oxydation.

L’acide aminé qui renforce votre muscle cardiaque. Votre cœur est votre plus gros muscle. Chaque jour, il bat 100 000 fois (en moyenne trois milliards de fois au cours d'une vie) et pompe 7000 litres de sang pour irriguer votre système vasculaire long de 1,5 kilomètre. Le sang transporte l’oxygène qui permet à vos cellules de respirer. Si elles ne reçoivent pas suffisamment d’oxygène, elles étouffent et meurent plus rapidement, ce qui accélère le vieillissement et le développement des maladies qui y sont liées.

Pour réaliser ce travail de titan, votre muscle cardiaque, appelé myocarde, a besoin d’une grande quantité d’énergie. Cette énergie lui est fournie en partie grâce à la L-carnitine, un acide aminé qui permet le transport des acides gras (du carburant énergétique) à l’intérieur des mitochondries, les « usines énergétiques » que nous avons à l’intérieur de chacune de nos cellules. Une méta-analyse regroupant 13 études cliniques menées entre 1984 et 2007 pour un total de 3629 patients a été publiée en 2013. Les auteurs ont montré qu’une supplémentation en carnitine chez des patients ayant connu un premier infarctus du myocarde permet de diminuer de 27 % la mortalité globale (due à un accident cardiovasculaire ou autre). Plus spécifiquement, la carnitine est associée à une diminution de 65 % des arythmies ventriculaires et de 40 % des attaques cardiaques.

Deux études cliniques publiées en 2014 et 2015 ont montré qu’une supplémentation orale en carnitine à une dose de 1000 mg/jour pendant 12 semaines chez des personnes présentant un risque cardiaque permet de réduire les marqueurs du stress oxydant et de l’inflammation. Ces résultats montrent le rôle bénéfique de la carnitine pour prévenir la récidive d’un accident cardiaque ou l’aggravation d’une maladie cardiovasculaire.

En plus de réduire les six principaux facteurs de risque cardiovasculaire grâce à l’ail et de renforcer votre muscle cardiaque grâce à la carnitine, les cardiologues recommandent de protéger vos artères contre l’apparition de la plaque artérielle. Là encore, la nature apporte la solution grâce à un troisième nutriment extraordinaire : la coenzyme Q10, un puissant antioxydant et anti-inflammatoire naturel.

Ce super antioxydant empêche les radicaux libres de creuser des trous dans vos artères
D’après certains chercheurs, l'apparition de la plaque artérielle est une réaction d'autodéfense de votre corps face à des dommages causés dans vos artères par des substances oxydantes et inflammatoires. La paroi intérieure de vos artères est normalement protégée par une fine pellicule qui permet au sang de couler sans s'accrocher, exactement comme de l'eau sur les feuilles des arbres : des gouttelettes peuvent se former à la surface, mais elles finissent par ruisseler, sans laisser de traces.

Le problème apparaît lorsque votre sang contient des radicaux libres, des molécules carnivores qui rongent les parois de vos artères comme l'oxygène rouille une barre de fer humide. Nous sommes tous exposés aux radicaux libres car ils proviennent de l'environnement (gaz d'échappement, fumée de cigarette, polluants), de la mauvaise alimentation, et des déchets naturels dus à la production d'énergie par vos cellules.

Heureusement, il existe dans la nature des substances naturelles capables de les détruire : ce sont les antioxydants. Dès qu'ils sont mis en contact avec les radicaux libres, ils transforment ces molécules carnivores en des corps inoffensifs qui glissent dans le flux sanguin sans plus chercher à griffer ni à faire des trous.

La coenzyme Q10, ou « CoQ10 » est l’un des antioxydants les plus puissants. Tous nos organes vitaux, et en particulier notre cœur, ont besoin d'un apport continu de CoQ10 pour fonctionner. Quand vous êtes jeune, en bonne santé et plein de vie, votre foie fabrique suffisamment de CoQ10 pour fournir la puissance à votre cœur et pour contrer les radicaux libres. Le problème est qu’à votre 50e anniversaire, vous produisez 25 % de CoQ10 en moins qu'à 20 ans (à 80 ans, la diminution peut atteindre 65 %), ce qui explique pourquoi il est si important de se supplémenter en CoQ10.

Cela est plus vrai encore pour les personnes qui prennent des statines (médicaments anticholestérol). En effet, les statines bloquent la production de CoQ10 en même temps qu'elles bloquent la production de cholestérol. Cela aboutit à une baisse du niveau de CoQ10 dans les mitochondries et donc à une plus grande vulnérabilité aux radicaux libres. Prendre de la CoQ10 pourrait donc être crucial pour les personnes sous statines, à tel point que des médecins aux Etats-Unis militent depuis 10 ans pour que la prise de CoQ10 devienne obligatoire avec les statines !

La prise de CoQ10 pourrait faire une différence pour les personnes qui prennent des statines, mais aussi pour toutes celles qui se préoccupent du vieillissement de leur cœur et de leurs artères.

Les compléments nutritionnels intéressants.
De petites quantités d’allicine, de carnitine et de coenzyme Q10 peuvent être obtenues grâce à votre alimentation. Toutefois l’alimentation seule ne permet pas d’obtenir les quantités recommandées par les études scientifiques de référence. L’autre problème est que selon votre âge et votre état de santé global, vous allez plus ou moins bien absorber les nutriments issus de votre alimentation.

C’est pourquoi de plus en plus de nutritionnistes conseillent de compléter notre alimentation avec des compléments nutritionnels, en vérifiant bien que les dosages proposés sont suffisants.

En Allemagne, la Commission E allemande qui valide l’efficacité des plantes médicinales recommande la consommation quotidienne de 4 g d’ail frais, afin d’obtenir chaque jour au moins 10 mg d’allicine, la dose minimale nécessaire pour bénéficier des effets cardioprotecteurs de l’ail. Si vous ne consommez pas chaque jour 4 g d’ail frais (très peu le font), vous pouvez compléter vos apports alimentaires avec de l’ail sous la forme d’un supplément nutritionnel d’au moins 10 mg d’allicine par jour, comme le recommande l’American Heart Association.

La consommation de viande rouge permet d’obtenir une petite quantité de carnitine. On estime qu’une alimentation normale en apporte entre 20 et 200 mg par jour. Mais c’est la prise d’un supplément nutritionnel d’au moins 1000 mg de carnitine (1 g) qui a montré des effets positifs sur la santé de personnes ayant déjà souffert d’un infarctus du myocarde. Elle permet aussi de réduire la consommation de viande rouge, récemment mise en cause comme potentiellement cancérigène (surtout la viande d’élevage industriel).

Concernant la coenzyme Q10, vous en obtenez dans les viandes rouges et le poisson ainsi que dans certaines huiles végétales et les noix. Le problème est que dès 40 ans en moyenne, nous commençons à perdre progressivement jusqu’à 65 % de notre capacité à synthétiser et à absorber la coenzyme Q10. Le but d’une supplémentation nutritionnelle en coenzyme Q10 est donc de combler ce déficit et d’éviter ses conséquences sur la santé de votre cœur. Concernant les doses, il est conseillé de prendre 100 à 150 mg de CoQ10 par jour. Il vaut mieux prendre votre supplément de coenzyme Q10 au cours d'un repas contenant des lipides, la CoQ10 étant mieux absorbée en présence d’huile ou de graisse.

Trois actifs naturels sûrs
Pris sous la forme de compléments alimentaires, l’ail, la carnitine et la coenzyme Q10 ne présentent pas d’effet secondaire, même à forte dose. Il n’y a donc pas de risque lié à la supplémentation.


• L’ail est un aliment utilisé couramment et qui ne présente pratiquement aucun risque d’intolérance ou d’allergie.
• La carnitine est utilisée en supplémentation chez l’homme depuis des années sans qu’aucune des nombreuses études cliniques n’ait rapporté d’effet secondaire dangereux, même à forte dose.
• La CoQ10 n'a aucun effet indésirable : Le Dr Peter Langsjoen a analysé 34 études contrôlées par placebo, portant sur 2152 patients souffrant de problèmes cardiovasculaires. Il déclare qu'il n'y a aucune toxicité et aucune interaction médicamenteuse. Il dit aussi que la CoQ10 est « entièrement sûre, sans aucune toxicité, selon plus de 1000 études publiées ».
Toutefois, si vous êtes déjà suivi pour une maladie cardiovasculaire, je vous recommande de demander conseil à votre médecin avant de modifier votre traitement actuel.

L’ail, la carnitine et la coenzyme Q10, lorsqu’ils sont pris aux doses recommandées par les études scientifiques, ne sont pas des placebos ! Ils ont une action concrète et rapide sur votre santé cardiovasculaire. Si vous êtes sous traitement, vous devez vous assurer de bien concilier celui-ci avec la prise de ces ingrédients actifs.


Plus efficaces ensemble
Ces trois ingrédients cardioprotecteurs peuvent être pris séparément mais ils ont démontré une plus grande efficacité lorsqu’ils sont pris ensemble. Chacun exerce des bienfaits spécifiques et complémentaires pour votre cœur et vos artères :


• L’ail réduit les principaux facteurs de risques des maladies cardiovasculaires : dyslipidémie, glycémie, hypertension et calcification artérielles, inflammation, régulation de la fonction plaquettaire.
• La carnitine renforce votre muscle cardiaque (myocarde) en lui procurant le carburant énergétique dont il a besoin (les acides gras).
• La coenzyme Q10 lutte contre les radicaux libres qui creusent des trous dans la membrane protégeant l’intérieur des artères, et ouvrent la voie à la plaque artérielle.
L’apport conjoint de carnitine et de CoQ10 permet de mieux lutter contre les défaillances cardiaques.

En 2007 une étude a été menée sur 64 patients souffrant de problèmes cardiaques pour étudier l’effet conjoint de CoQ10 et de carnitine pendant 12 semaines. Les auteurs ont montré que ce traitement a un effet anti-inflammatoire et antioxydant. Ils ont également montré que le traitement permet d’améliorer la qualité de vie (fatigue, palpitations, capacités physiques) et le rythme cardiaque.

En 2012 une étude clinique menée sur 65 personnes (âge moyen de 55 ans) a montré que la supplémentation avec un extrait d’ail (1200 mg/jour) et de la CoQ10 (120 mg/jour) pendant un an permet de diminuer les marqueurs de l’inflammation et de réduire la progression de l’athérosclérose.

Lorsque vous associez ces trois actifs à un mode de vie sain, vous vous prémunissez contre une menace aussi fatale qu’inutile. Pour rappel, aujourd’hui en France, une personne sur quatre meurt brutalement d’une maladie du cœur et des artères alors que les études démontrent que toutes ces vies, dont peut-être un jour la vôtre ou celle de l’un de vos proches, pourraient être épargnées. Si vous souffrez déjà d’une maladie cardiovasculaire ou si vous avez déjà subi un infarctus ou un AVC, les risques d’aggravation et de récidive diminuent drastiquement.

Mais les bienfaits d’un cœur en meilleure santé ne s’arrêtent pas là. Ils se ressentent dans tous les aspects de votre vie au quotidien.

Votre vie retrouve un nouveau souffle
Votre cœur irrigue tout votre corps en transportant l’oxygène et les nutriments dont chaque cellule de chaque organe a besoin.

Quand votre cœur est plus fort, votre énergie physique augmente : vous avez plus de souffle, plus d’endurance et plus de force. Vous vous sentez moins fatigué. Ce qui vous demandait un effort physique vous paraît plus facile : vous pouvez à nouveau monter les escaliers sans avoir le souffle coupé, vous n’êtes plus à la traîne lorsque vous partez vous promener en famille ou avec des amis. Petit à petit, vous retrouvez plaisir à bouger et à réaliser des activités qui demandent un effort physique, comme si vous vous sentiez plus léger et plus jeune. Vous avez également plus d’énergie pour résister à la maladie. Si vous êtes sportif, vos performances s’améliorent car votre cœur soutient mieux les efforts produits par vos muscles et votre système respiratoire. Vous récupérez plus facilement.

Le même phénomène se produit au niveau de votre cerveau qui a besoin d’être bien irrigué pour fonctionner au maximum de ses capacités. Votre attention et votre concentration s’améliorent. Vous êtes capable d’analyser plus vite et plus finement les problèmes que vous devez résoudre. Vos pensées sont plus claires, votre moral est meilleur, votre stress diminue.

Comment bien vous supplémenter sans vous ruiner
De nombreux laboratoires proposent ces actifs naturels sur Internet ou en pharmacie. Toutefois, peu de formulations respectent les doses recommandées par les études de référence. C’est pourtant une condition fondamentale pour obtenir des résultats et ne pas gaspiller votre argent. Deux laboratoires proposent des produits de grande qualité.

Le premier est le laboratoire Nutrixeal qui propose chacun de ces trois actifs séparément. Vous pouvez donc choisir de prendre soit leur complément alimentaire d’ail, soit leur complément de carnitine, soit leur complément de CoQ10, soit une combinaison des trois.

Chacun de ces produits est bien dosé au regard des recommandations faites par les études de référence.

L’autre solution est un produit 3 en 1, le Cardio-Balance actuellement en promotion. Elle vous apporte chaque jour les dosages recommandés en allicine (le principe actif de l’ail, 1200 mg titré à 1 %, soit 12 mg), en carnitine (1200 mg) et en CoQ10 (120 mg).

Dernière information importante, l’action de ces nutriments contre l’inflammation, l’oxydation et pour améliorer le métabolisme auront des bénéfices sur votre santé cardiovasculaire et votre énergie. Mais notez également que ces mécanismes influencent aussi grandement d’autres fonctions vitales de votre organisme. Ces actifs auront donc indirectement d’autres bienfaits contre des maladies liées à l’inflammation et à l’oxydation : arthrose, Alzheimer, cancers, diabète.

(D’après le docteur Jean-Marc Dupuis)
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Bettyoups
Bettyoups 08/06/2016 à 21h19

Bonsoir, Oss , merci pour cet article que je continuerai de lire à tête reposée.

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Dany80
Dany80 08/06/2016 à 21h50

merci OSS pour cet article super important et qui demande à être diffusé.

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Bettyoups
Bettyoups 09/06/2016 à 06h35

Tout à fait d'accord avec toi, Dany, cet article doit être partagé ! Je connaissais les vertues de l'ail mais je ne savais pas qu'il en avait autant ! Pour les deux autres produits que je ne connaissais pas, je vais en parler avec mon médecin pour voir ce qu'il en pense par rapport à mon traitement contre l'hypertension. Encore merci, Oss !

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Guyl34
Guyl34 09/06/2016 à 09h04

Merci pour les infos ! Mon grand-père paternel n'a pas eut le temps de profiter de sa retraite des chemins de fer, il est mort quelques mois après sa retraite d'un infarctus à 60 ans !
Mon père est aussi mort d'un infarctus à 65 ans !

Ils ont travaillé dur et n'ont pas eut le temps de profiter de leurs économies pour voyager.... c'est la vie, parfois cruelle !

Du coup, ça me fait peur .... pour l'avenir !

  • Ambassadeur
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Pearla
Pearla 12/06/2016 à 10h26

les docteurs Jean-Marc Dupuis, Joyeux... sont des sauveurs du monde !

infarctus ?? ou autre chose, il faudra bien un jour
de preference dans les meilleures conditions...
la seule chose dont nous sommes surs d'ailleurs... sans savoir quand ni comment

perso, je redouterais d'etre 'prolongee' jusqu'a 100 ans..
je ne veux pas qu'on m'euthanasie
je ne veux pas que l'on s'acharne therapeutiquement
je ne veux pas qu'on me vole ma mort...

arrivee a 66 ans, je dis que ma vie a ete bien remplie,
j'ai fait ce que j'ai pu, pas toujours le mieux
mes enfants sont independants...
alors....
je serai heureuse de passer sur l'autre rive
histoire de changer d'horizon !!
et si la mort n'existait pas ??

  • Novice
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Bettyoups
Bettyoups 12/06/2016 à 11h16

Ah si l'on était sûr de tout on pourrait se permettre de dire : je ne veux pas, mais malgré cela la médecine doit appliquer la loi. ...sa loi ? ....moi je dirais et j'écrirais plutôt, j'aimerai effectivement comme toi, Pearloceane bien vieillir et que ma vie s'arrête tranquillement, peut être que pour cela devrais je aller en Suisse où j'aurai le choix de mon départ et si la mort n'existe pas, là je te cite, comment appellerai tu ce passage ?

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Pearla
Pearla 12/06/2016 à 11h44

ah ! non, je n'irai pas depenser un kopeck... et en suisse surtout... !!!! pays neutre.. sauf quand il s'agit de fric... Vous n'avez pas remarque qu'ils ne se melent jamais des tristesses du monde... n e u t r e... comme s'ils n'existaient pas.... un coffre-fort PLEIN, VIDE de toute humanite
ah ! non, je ne veux pas d'euthanasie... juste qu'on me laisse m'eteindre.. qu'on ne me vole pas mon dernier souffle
et des lois sur l'euthanasie... je suis deja effrayee a l'idee de ce qu'ils pourraient en faire... si ils disaient qu'on ne correspond plus a certains criteres... les lois sont dangereuses... pas toujours pour nous proteger
la mort... un autre lieu... une autre dimension...
que l'on continue a penser a moi, dans mes meilleurs moments, mes 'must', ceux des rigolades et des gentillesses
comme je continue a penser a ceux que j'ai aimes et que j'aime encore
il y a des morts morts dans les cimetieres.. plus personne pour y penser
il y a des vivants morts... quand on raye le moindre souvenir de nos memoires
et s'il n'y a vraiment rien... et bien.. ca ne me pose pas de probleme... car je ne le saurai pas, je ne le verrai pas
mais de mon vivant, j'aurais eu l'esperance d'un monde meilleur encore !
Bien des pays celebrent la mort comme une fete
il n'y a guere que nous, gens 'civilises', pour etre tristes... enfin... ca depend... combien de temps.. selon ce que le defunt nous laisse en heritage... il y a une hypocrisie dans ces moments

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Bettyoups
Bettyoups 12/06/2016 à 12h16

De toutes façons il faudra payer donc si c'est pour partir dignement. ...

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Pearla
Pearla 12/06/2016 à 15h37

dignement ?? NON.... je ne vous suis plus.Ou est la dignite ou la non-dignite a ce sujet ?? Donc, on n'en parle plus. Ce sont des discussions que je tiens avec mes amis, que je connais bien et en face a face.

Une des séquelles des AVC est la dépression, la neurasthénie, voire la psychiatrie !!


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Bettyoups
Bettyoups 12/06/2016 à 20h13

Ouh la, on discute c'est tout et je parle pour moi. ..sur ce ,salut !

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Pearla
Pearla 12/06/2016 à 20h36

regarde comme la communication passe mal par Internet.. le virtuel, non vertueux....
je ne souhaitais pas m'engager dans une discussion, ou chacun a ses raisons, et est digne de tolerance
je n'ai pas voulu te froisser... toutes mes excuses si tu l'as pris ainsi

  • Novice
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Bettyoups
Bettyoups 12/06/2016 à 20h48

Non non je ne suis pas froissée mais ta réponse était assez virulente même si ça n'est pas le bon mot ; donc ne t'inquiète pas, je suis ouverte à toute discussion et respecte comme toi, les avis des autres personnes.

  • Ambassadeur
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Oss
Oss 12/06/2016 à 21h15

Bonsoir à tous,

Voilà un sujet qui passionne et qui soulève les cœurs ! Mon propos voulait simplement traiter de la crise cardiaque qui hélas frappe beaucoup d’entre nous. Pourquoi ? Le stress d’une vie, une alimentation désordonnée, une sédentarité, sans doute l'héritage d'un passé génétique déficient font que l’attaque cardiaque fait des ravages au moment où le repos mérité, la retraite, est là.

Des conseils médicaux, une vie journalière différente peuvent apporter des remèdes à une maladie cardiaque, c’est ce que ce propos voulait traiter.

Maintenant, les commentaires, les remarques, les idées de tout un chacun sont honorables et doivent être traités avec respect, ce qui fait la «déontologie » de notre site. Il n’y a pas de vérité évidente et personne ne possède la vérité infuse. Acceptons nous, échangeons nos idées, exprimons nous avec le soucis que l’autre, « virtuel » en face de nous, et qui a quelque chose à dire qui peut être instructif et nous éclairer.

Pour continuer et ouvrir un débat, si vous le souhaitez, respectueux en s’acceptant, sur la mort, personnellement je dirais et vous avez tout le loisir de me contredire bien évidemment, que la mort ne nous appartient pas. Il est évident qu’elle va arriver : belle, violente, soudaine, difficile, issue d’une et terrible maladie, dans la souffrance, voulue (le suicide), espérée à cause de souffrances etc… Chacun a le droit de dire qu’il espère mourir dignement, le plus tard possible, sans souffrir, auprès des siens, payer pour mourir (pourquoi pas ?), choisir sans doute un pays qui accepterait de le faire « partir » dans la dignité.

En occident, personne n’a peur de la mort. Alors pourquoi traiter ce sujet ? Tout simplement parce que c’est un gros mensonge ! En réalité, chacun est terrorisé à l’idée de la mort, mais d’aucun ne veut surtout se l’avouer, justement à cause de la peur que cette idée génère ! Il est normal d’avoir peur de la mort, puisque la peur naît de l’ignorance. Dans les anciennes civilisations, il existait un enseignement de la mort et le lien que les gens entretenaient avec le monde spirituel, grâce à leur faculté de clairvoyance atavique, faisait le reste.

De nos jours, dans notre société, nous avons perdu les connaissances essentielles : nous ne savons plus ce qu’est véritablement la naissance et la mort est un mystère que personne n’ose regarder en face. Le docteur Elkizabeth Kubler-Ross a accompli un brillant travail pour dédramatiser la mort. Le « tabou » demeure car la mort conduit au néant dans nos idées.

Je vais vous avouer une chose. Voilà 3 ans, jour pour jour, mon épouse « partait au ciel ». Je mets volontairement des « » car il s’agit de Ma croyance. Elle est partie dans des souffrances abominables et je ne pensais pas qu’un être humain pouvait endurer autant de mal et de douleurs. Pour les soulager, les médecins lui ont administré des drogues et encore des drogues. Elle a été merveilleuse de courage, de ténacité, de volonté. Souvent j’ai prié pour que ses souffrances se terminent. J’ai appelé au secours la bonté divine à son chevet. Si j’avais eu le pouvoir d’abréger ses souffrances, je crois que je l’aurais fait, que j’aurais payé… Il n’est pas possible de voir l’être aimé se déchirer dans la douleur. C’est insupportable tant pour le malade que pour celui qui l’assiste au quotidien !

Un matin, une semaine environ avant son décès, je revenais la voir dans sa chambre. Elle était assise sur le bord de son lit grâce à ses médicaments violents. Ses mains étaient posées sur ses genoux. Elle était courbée en avant, le visage regardant le sol, le regard fixe, livide. Je me suis arrêté appuyé contre le chambranle de la porte, médusé par son attitude. Elle ne parlait pas. Seuls ses doigts bougeaient. Je lui ai dit :
- Ma chérie, tout va bien ?
Au bout d’un moment elle m’a répondu dans un soupir et sans me regarder.
- Maman est près de moi, elle me tient la main, elle me sourit (sa maman était décédée trois ans auparavant).

Un choc pour moi car les paroles de mon épouse, très cartésienne sur ces choses, m’ont assommé ! Elle nous a quitté le 10 juin 2013 après que, rassemblant tout mon courage, seul dans sa chambre de l’hôpital avec elle, dans un état semi comateux mais elle entendait parfaitement tout, je lui ai dit en lui prenant les mains et en l’embrassant :
- Ma chérie, si tu veux partir, fais-le ! Tu as assez souffert tu mérites la paix !
Elle est partie dans les secondes qui ont suivi.

Vous imaginez aisément, je le suppose, mon état d’esprit actuellement. Par pitié, il y a actuellement tellement de violence gratuite dans les rues de nos villes que, personnellement, je ne supporte pas les échanges violents. Nous devons nous respecter car nous n’avons pas le droit de parler plus haut qu’un autre sous prétexte que ce que l’on dit est la vérité ! Gardons en nous le respect de l’autre. Je ne dis pas que vous n’êtes pas respectueux, loin de moi cette idée, mais je demande que l’on s’accorde mutuellement une attention particulière et cela fait tellement de bien !

Pardon de vous reparler de tout cela car je l’ai déjà fait dans une autre rubrique mais, croyant et pratiquant, je dis que la mort ne nous appartient pas. Elle doit arriver, certes. Mais, ce qu’il nous appartient c’est de vouloir, de notre vivant, espérer que notre mort soit la plus naturelle possible et que nous n’avons pas le droit, tout un chacun, de prendre parti sur l’une ou l’autre des personnes s’exprimant sur le sujet. Nous avons tous nos espoirs, nos croyances, nos aspirations, nos souhaits, nos passions : c’est ce qui fait notre personnalité.

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Bettyoups
Bettyoups 13/06/2016 à 07h24

Bonjour, une remise en place nette ,claire et précise ; désolée de m'être égarée dans un sujet qui n'est pas celui de cette discussion, Oss.

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Bettyoups
Bettyoups 13/06/2016 à 08h21

Je rajoute que je parle pour moi.

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Pearla
Pearla 13/06/2016 à 08h41

Moi aussi, je demande pardon, je me promets de ne plus m'engager sur des sujets qui sont si personnels. Nous avons tous un vecu qui est parfois si douloureux.

  • Novice
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