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Le Printemps du Rire en 3 lâchers de zygomatiques

Le 31-03-2014 - Evénements

Jusqu’au 12 avril, Toulouse est ville ouverte pour les humoristes. 21 salles de la ville rose sont mobilisées pendant deux semaines pour découvrir 51 spectacles sur 122 représentations. Un événement où se croisent talents confirmés et jeunes découvertes, ces derniers ont même l’opportunité de se produire au Zénith (le 12 avril) en remportant les Duels pour Rire. Voici trois valeurs montantes du comique hexagonal pour en profiter à s’en déboîter la mâchoire !




[caption id="attachment_3635" align="alignleft" width="200"] © Julie Caught/Charlotte Chenoz[/caption]

Jérémy Ferrari, celui qui n’y croyait pas


Ses vannes sur la religion, TOUTES les religions, de son spectacle « Allelujah Bordel » ont fait parler de lui. Audacieux quand les humoristes se réfugient souvent dans le consensus, la provoc’ est devenue la marque de fabrique de ce beau brun qui a intégré l’équipe de « On n’Demande qu’à en rire » de Laurent Ruquier sans renier sa liberté de ton. Aujourd’hui il tourne aussi en trio avec Baptise Lecaplain (lui aussi programmé au Printemps au Casino Barrière le 4) et Arnaud Tsamère.


Au Zénith le 10 avril.


 




[caption id="attachment_3638" align="alignright" width="200"]Nicole-ferroni © Nicole Ferroni[/caption]

Nicole Ferroni, la meuf’ post-moderne

Après l’humour militant (pas assez drôle) et l’humour girly (trop fifille), cette sudiste incarne le nouveau stade du comique féminin. Ne vous fiez pas à son air parfois un peu gnan-gnan, l’ancienne enseignante en biologie sait mordre où il faut avec sa collection de personnages hauts en couleurs, du rappeur soit disant engagé à la diva suffisante. Par contre, on attend un nouveau spectacle car « L’œuf, la poule et Nicole » commence à dater !


À l’Altigone le 5 avril.


 




[caption id="attachment_3641" align="alignleft" width="200"]Jonanthan-Lamebrt © Jonathan Lambert[/caption]

Jonathan Lambert, humour et postiches

On garde le meilleur pour la fin : avec lui, l’humour devient délire total, voire schizophrénie ! Sous ses « Perruques » (titre de son spectacle), il revisite les personnages créés lors de l’émission « On n’est pas couchés » (Ruquier, encore lui !) où il a succédé à Florence Foresti. Transformiste, survolté, régressif jusqu’au trash, ce comédien joue la surenchère pour ce passage en revue des « monstres » de sa famille (du notaire à l’obsédé sexuel, en passant par l’esthéticienne). Décoiffant !


Au Casino Théâtre Barrière le 3 avril.

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