Oss
09/03/2020 à 20h21
Ben voilà ! Bravo et merci les filles.
Il s'agit d'un extrait du merveilleux livre d'Émile Zola : Germinal
Que de misère ! Et toutes ces filles éreintées de fatigue qui étaient encore assez bêtes, le soir, pour fabriquer des petits, de la chair à travail et à souffrance.!
Jamais ça ne finirait, si elles s'emplissaient toujours de meurt-de-faim. Est-ce qu'elle n'auraient pas dû plutôt se boucher le ventre, serrer les cuisses ainsi qu'à l'approche du malheur ? Peut-être ne remuait-il (Étienne) confusément ces idées moroses que dans l'ennui d'être seul, lorsque les autres, à cette heure, s'en allaient deux à deux prendre du plaisir.