Le Saint Christophe

J'y ai séjourné à plusieurs reprises et je garde effectivement une bonne image de cet hôtel-restaurant au charme désuet.
Bien placé car tout proche de la mer et à moins de 10 minutes à pieds du centre de La Baule.
Parlons de la cuisine... Je n'ai jamais été déçue par un plat. Je vous recommande les noix de St Jacques, entre autres plats. Le service est discret mais efficace. Cet établissement dégage un côté familial appréciable. Le personnel est très attentionné.
Les petits-déjeuners sont copieux et servis jusqu'à 10h maximum en salle.
Bref, une bonne adresse à quelques mètres de la plage.

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Si je me souviens de chambres exigües à décoration désuètes lors de séjours week-end assez lointains, j'en privilégie toujours & encore régulièrement les bienfaits de sa spacieuse terrasse, idéalement orientée à l'abri de la cathédrale, pour d'agréables déjeuners ou dîners entre amis. A noter, son agréable bibliothèque dans laquelle j'avais passé rêveur un après-midi de tempête après une douillette digestion en bord de cheminée, lieux dans lesquels, avec la délicieuse complicité compréhensive du personnel, je n'hésite jamais de repasser quelques instants nostalgiques à chacun de mes passages.
Le service de la Maison reste on ne peut plus aimable, discret & attentionné, avec une cuisine de tradition bien française comme je l'affectionne, dans un environnement de style 1900 de charme, en terrasse ou en salle à manger, salle dans laquelle les Dames ne pouvaient s'attabler que chapeautées, du temps de mon enfance.
Son Menu du Terroir à 32€, de mémoire sans hausse significative depuis son passage en 3* il y a quelques années, reste avant tout équilibré & mesuré, tant pour le ventre que pour le porte-monnaie, même si parfois je lui privilégie celui des mareyeurs (39€) pour son plateau de fruits de mer & son plateau de fromages !
Aussi, pour l'ensemble de ces qualités & avantages, autant dire que ma fidélité lui reste acquise, avec au moins une tablée à chaque séjour, et le Dieu des Gourmands me pardonnera les quelques vagabondages festifs dans les environs, toujours utiles quand ce n'est pas conseillé, ne serait-ce qu'à titre comparatif, qui me permettent encore & toujours de mieux l'apprécier.

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