Oss
10/10/2018 à 12h46
Tu as raison Dany80 de t'interroger. En fait, si à un malade on lui prescrit un médicament qui est un placebo mais sans le lui dire, ce malade se dira que l'on lui a prescrit un médicament "normal" et que, grâce à lui, il guérira. Donc inconsciemment, il programme son cerveau pour la réception d'un médicament qu'il croit "normal" alors que c'est un placebo. Il est guérira tout comme s'il avait reçu un médicament "normal".
En fait, tout ceci est à l'étude, étude qui remonte dès 1820. Comprends bien également que les laboratoires n'ont aucun intérêt à ce que cette étude aboutisse. Regarde avec l'homéopathie que les lobbyistes veulent ne plus rembourser.
Ma fille, dans la clinique où elle travaille, apporte aux patients qui ont été opérés et en souffrance, une aide au soulagement grâce à l'hypnose. L’hypnose détourne la souffrance que le cerveau enregistre. Ainsi, le cerveau du patient se focalise, grâce à la parole de l'infirmière, sur les images qu'il visualise dans son esprit, détournant ainsi le mal.
Toutefois, Mababe a raison de souligner que pour les maladies lourdes, il vaut mieux encore croire à la médecine.
Par ailleurs, le docteur Simies qui a une place très conséquente dans les médias et qui pour lui l'homéopathie n'a pas sa place dans le monde médical ainsi que les médecines douces, a découvert au cours d'une émission télévisée avec grand étonnement que l'on pouvait opérer sans anesthésie un malade (cela se passait en Chine), grâce à l'hypnose. J'ai vu le reportage et je me suis régalé de voir ce médecin, aux attitudes clownesques, s'étonner d'un tel fait !
Il faut savoir que nous avons beaucoup à apprendre de la médecine chinoise car, si leurs médecins sont rompus aux techniques de l'acupuncture, sont également très avancés dans les domaines de la naturothérapie, la narcothérapie, et sur l'utilisation des tisanes à base de plantes. Leurs thérapies guérissent et donnent des résultats alors que chez nous, pour un même mal, on nous gave de médicaments aux effets secondaires redoutables, sans pour autant s'assurer de la guérison du patient.