Bonjour Vick64
Dans ce genre de maladie, les médecins et spécialistes, en règle générale, soignent les effets de la maladie mais n’en recherchent pas la cause. Or, rechercher puis soigner la cause du mal est une évidence.
Disons de suite que pour cette maladie, ce n’est pas vous qui souffrez mais votre corps. Il vous adresse des messages pour vous dire combien votre « moi intérieur » n’est pas bien et qu’il faut rapidement faire quelque chose…
Or, ce « moi intérieur » peut être affecté de plusieurs manières (et la liste est longue). Relevons les principales :
- vous avez subi un choc émotionnel à la suite d’un décès, d’un divorce, de la perte d’un emploi, d’un déménagement, d’une vie difficile liée à des ennuis d’argent… C'est passé inaperçu mais votre esprit en a été affecté lourdement sans que vous le sachiez sur l'instant.
- ce peut être également la conséquence d’un régime alimentaire mal vécu, désordonné, ou alors d’un surpoids, d’une vie trop sédentaire. Tout au contraire ce peut être une carence alimentaire,une anorexie mentale.
- le stress joue énormément dans la vie quotidienne et pour ce genre de maladie.
- l'humeur changeante (cyclotimie) avec régulièrement des "hauts" et des "bas".
Dans le cas d’un choc émotionnel et suivant l’importance des symptômes de la maladie, il serait sans doute judicieux de se faire aider par un psy ou autre. Dans le cas d’un dérèglement biologique du corps ou carences alimentaires, un naturopathe, un homéopathe voire un hypnotiseur, serait une aide non négligeable.
Il est très important d’être à l’écoute de son corps car, LUI, vous parle et sait vous alarmer à temps. Prenons l’exemple d’un jeune enfant qui fait des rhinites à répétition. Le médecin prescrira des gouttes, des suppositoires, des sirops voire des antibiotiques. Les effets sont soignés. Quelques jours plus tard, l’enfant présente des sinus encombrés, il a mal à la gorge. Le médecin change les médicaments. Les effets disparaissent. Mais les jours suivants, l’enfant a une otite. Bien souvent, ce genre de symptômes apparaissent lorsque l’enfant a une alimentation trop riche en produits laitiers de toutes sortes. Le soir, outre le biberon, maman donne un yaourt… Et nous savons désormais qu’un produit laitier (de vache surtout) prit le soir, fermente toute la nuit dans l’estomac de l’enfant (ou de l’adulte), encombrant ainsi les voies aériennes supérieures (sinus, gorge, oreilles). Donc, on supprime les laitages du soir et surtout on remplace les produits de vache par ceux de brebis ou chèvre.
Enfin, il faudra absolument corriger la « nature » de votre flore intestinale et vous aidez, pourquoi pas, par des lavements que vous ferez chaque jour vous-même ou chez un spécialiste.
A mon avis, vous devrez absolument faire un régime alimentaire draconien.
Supprimer pour un temps toutes les graisses (animales et végétales). Utilisez en priorité de l’huile d’olive ET de colza biologiques dans tous les cas, en bouteille de verre fumé. Les végétaux de toute sorte (de préférence BIO ou à l'agriculture raisonnée) seront votre quotidien sans oublier de prendre 2 fois par semaine des légumineuses (lentilles, haricots, pois…), céréales pauvres en gluten (riz, quinoa sarrasin, épeautre), betterave, crucifère mais PLUS JAMAIS DE MAÏS !
La viande et les produits laitiers demeureront pour des occasions exceptionnelles, un peu plus souvent les poissons et fruits de mer.
Supprimer TOUS LES PRODUITS LAITIERS DE VACHE et les remplacer par des laits végétaux (soja, riz, amande BIO).
Cuire vos légumes « al dente », sans cuisson excessive et SUPPRIMER LA COCOTE MINUTE ET LE FOUR A MICRO ONDES DEFINITIVEMENT JE REPETE : DEFINITIVEMENT !!! même pour réchauffer un aliment en quelques secondes !!!
Mettez dans toutes les sauces que vous préparerez deux cuillères à café de graines de lin broyées (à conserver au frigo).
Plus de café mais du thé vert ou noir, infusions d’hibiscus, de chicorée.
PLUS DE SUCRE QUELLES QUE SOIENT LES FORMES ET LES PROVENANCES. Préférez le miel (attention à sa provenance !)
PLUS DE SEL ET DE POIVRE mais préférez le curcuma, le gingembre, la muscade, le clou de girofle, l’ail, l’oignon, la cardamome, l’échalote.
PLUS D’ALCOOL mais oui pour le bon vin en petite quantité (pas plus d’un verre par jour)
PLUS DE PLATS PREPARES DU COMMERCE. Faites "maison"
Et puis : OUI pour
Le chocolat noir (BIO)
Le sport et les massages
La sexualité
L’écriture
Les voyages
Donc, en conclusion, faites l’inventaire pour vous-même de ce qui aurait pu déclencher cette maladie dans votre quotidien et votre vie, au moment où elle a fait son apparition et parlez-en avec votre médecin. A moins que vous l’ayez déjà fait. Bon courage à vous.
